Bien le bonsoir,

Veuillez pardonner l'anglissisme du pseudo, je le traine depuis maintenant près d'une quinzaine d'années.
Je me prénomme Thomas, normand d'origine, Coutançais plus précisement.
Je suis maintenant exilé dans le nord de la Seine-Et-Marne, dans la campagne parisienne, entre Mickey, Astérix et Roissy-Charles de Gaulle.
J'ai 26 ans, je suis jeune pandore depuis maintenant presque 3 ans.
Outre mes activités peu reposantes, j'ai à coeur de conserver une vie associative et je suis donc bénévole dans une salle de concerts de Seine et Marne et aussi sur quelques festivals normands.

J'ai découvert le monde de la pipe y'a maintenant presque 3 ans. J'avais d'ailleurs fréquenté à l'époque quelques topics du forum pour m'aider dans mon initiation. Comme certains, j'imagine, j'ai connu la boufarde via la culture populaire (j'ai cru aperçevoir un avatar du Nestor Burma de Tardi) et aussi avec ma rencontre marquante d'avec un grand résistant fumeur.

C'est ainsi que j'eus franchis lors du printemps 2017 la porte d'un petit tabac jouxtant la gare de Tulle en Corrèze, alors que je finissais la formation initiale de ma profession et que je profitais d'un quartier libre mérité. Et que donc, j'eus acheté ma première boufarde, une petite pipe droite sans prétention, en bruère, à la tige courte.

Je suis un petit fumeur, me permettant de fumer 3 à 5 fois dans le mois, en dehors des périodes de permissions où il m'arrive de la fumer plus souvent.

Concernant les tabacs, je me suis d'abord orienté vers la valeur sûr que sont les aromatiques et l'incontournable Kentucky Bird, puis j'ai testé mon palais aux mélanges anglais avec du Davidoff bleu anglais, et au Samuel Gawith Commonweath. J'ai bien aimé mais je vais attendre d'acquerir une deuxieme pipe (semi-courbé je pense) pour poursuivre ma quête de tabac anglais ou virginia.
En attendant, j'ai embrigadé un camarade de mon unité dans l'aventure et j'ai eu la chance de lui faire rencontré M.Tuibiana du Caïd pour l'achat de sa première boufarde, nous partageons nos tabac pour multiplier nos expériences.

Bonne soirée à vous

Preums! 

Bienvenue à toi parmi nous. Voilà une belle présentation e'core, doublée d'une belle philosophie, avec l'embrigadement d'un camarade qui plus est. 

J'espère que tu te plairas parmi nous, et que nous aurons loisir de converser.

bienvenue sir Stickman

Pierrot Gourmand a écrit:

Preums! 

Zut, pas assez rapide

Thomstickman a écrit:

J'ai 26 ans, je suis jeune pandore depuis maintenant presque 3 ans.

Qu'est ce que tu veux dire par je suis jeune pandore?

Degemer mat!

Bonjour et bienvenu à toi.
Tu trouveras plein de gens pour éclairer ton chemin dans ta recherche des "englishs".
A bientot

Marthy Mac Fly a écrit:

Thomstickman a écrit:

J'ai 26 ans, je suis jeune pandore depuis maintenant presque 3 ans.

Qu'est ce que tu veux dire par je suis jeune pandore?

Gendarme) (1853)[size=36] Variante de [/size]pandour[size=36]. Le mot semble plutôt avoir été créé par le chansonnier [/size][size=36]Gustave Nadaud[/size][size=36] qui dans une chanson (Pandore et les deux gendarmes) créa un gendarme nommé [/size]Pandore[size=36], modèle type de l’obéissance passive.[/size]


[size=36]pandore \pɑ̃.dɔʁ\ masculin[/size]
[list="margin-right: 0px; margin-left: 0px; padding-right: 0px; padding-left: 2.25em; border: 0px; font-variant-numeric: inherit; font-variant-east-asian: inherit; font-stretch: inherit; line-height: inherit; font-family: -apple-system, BlinkMacSystemFont, \"Segoe UI", Roboto, Lato, Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 16px; vertical-align: baseline; background: none rgb(255, 255, 255); color: rgb(34, 34, 34);"]
[*](Argot) Gendarme ou policier obéissantet passif.

• Pas de doute, la flicaille allait pas tarder à retrouver son identité, son père avait déjà dû porter le deuil auprès des zigouigouis de Maubeuge et il y coupait pas de retourner dans cette ville de chiens entre deux pandores. — (A. D. G., Cradoque's band, Gallimard (Série Noire n° 1493), 1972, rééd. 1981, page 47)
  
• […] avant de héler une voiture de gendarmes. Les pandores marseillais se font une maligne joie de me conduire à l'aéroport en prenant tous les sens interdits. — (Marie de Gandt, Sous la plume. Petite exploration du pouvoir politique, Paris, Éditions Robert Laffont, 2013, p. 155)
  
• L'autopsie. Pourquoi faire ? Tous les poulets et pandores du Calvados ont déjà identifié le Vieux Marlou à son étalage de ratiches. — (Jean-Louis Vigla, Les Poulets de Caen montrent les dents, Mon Petit Éditeur, 2015, chap. 2)
  

[/list]

SynonymesModifier

• → voir policier
  
  

Merci pour votre accueil .

Marthy Mac Fly a écrit:

Thomstickman a écrit:

J'ai 26 ans, je suis jeune pandore depuis maintenant presque 3 ans.

Qu'est ce que tu veux dire par je suis jeune pandore?

Eh bien je suis sous-officier de Gendarmerie.

Thomstickman a écrit:

Merci pour votre accueil .

Marthy Mac Fly a écrit:

Thomstickman a écrit:

J'ai 26 ans, je suis jeune pandore depuis maintenant presque 3 ans.

Qu'est ce que tu veux dire par je suis jeune pandore?

Eh bien je suis sous-officier de Gendarmerie.

Collègue, unité, permissions... Il y avait quelques indices

Welcome au village:-)

Gzav a écrit:

Thomstickman a écrit:

Merci pour votre accueil .

Marthy Mac Fly a écrit:

Thomstickman a écrit:

J'ai 26 ans, je suis jeune pandore depuis maintenant presque 3 ans.

Qu'est ce que tu veux dire par je suis jeune pandore?

Eh bien je suis sous-officier de Gendarmerie.

Collègue, unité, permissions... Il y avait quelques indices

J'avais pensé armée, mais je cherchais une unité en particulier

Salut l'ami, bienvenue au village! Je suis un grand amoureux du Squadron Leader de Samuel Gawith, si tu connais, sinon tout bon comme le Commonwealth!

Ce doit être sympa de voir des gendarmes en uniforme fumer la pipe.

Salut à toi Thomas bienvenu ici

La bienvenue en ces lieux 

Et bonne fête

Bienvenue parmi nous!

soit le bienvenue dans le village au plaisir de te lire

sois le bienvenu au village. Bonne continuation dans ta recherche et la découverte de tes futurs tabacs

Bienvenue a toi cher amis, que tes déambulations t'apporte de quoi te faire plaisir 

Un gendarme qui fume la pipe, entendu mais un vrai gendarme porte la moustache comme il se doit....L'obligation du port de la moustache en vigueur depuis 1841 est aboli en 1933...Zut, flûte et sac à papier....

Bienvenue à toi en ces lieux...

Pour info ...
texte tiré de Gendinfo :Ecrit par le  Lieutenant-colonel EBEL
Docteur en histoire, chef du bureau gendarmerie de la division Études et enseignement du Service historique de la Défense. Il a publié plusieurs ouvrages et articles relatifs à l’histoire de la police et de la gendarmerie.

"Pendant très longtemps, le port de la moustache en gendarmerie relevait d'une décision étatique. 
Attribut ou encore signe distinctif, cette particularité est aujourd'hui encore présente dans l'imagerie populaire, le gendarme étant souvent moustachu.

La moustache devient un attribut des gendarmes au XIXème siècle, au point que la population pour prévenir l'arrivée de la force publique s'exclamait : « Attention, les moustaches ! « .

Ce signe distinctif, symbolisant la masculinité et l'autorité des gendarmes, fait d'une certaine manière partie de l'uniforme. 
Les différentes représentations des soldats de la loi, dans le théâtre de Guignol, la peinture, le vaudeville, la publicité, le cinéma ou encore l'art populaire soulignent cette omniprésence des attributs pileux, qui appartiennent désormais à l'identité de la gendarmerie.

En réalité, la réglementation relative à ses aspects est abondante.
Une décision ministérielle du 20 mars 1832 rend le port de la moustache obligatoire pour tous les militaires. En juin 1836, il est déterminé qu'elle doit être coupée « uniformément au niveau de la lèvre supérieure, s'étendre sans discontinuité sur toute la longueur de la lèvre et s'arrêter toujours au coin de la bouche ».

Deux mois plus tard, une décision ministérielle précise que la moustache sera portée par l'ensemble des militaires, hormis ceux de la gendarmerie. Cette sentence très mal perçue par l'Arme, est vécue comme une humiliation et soulève un véritable tollé. Il faut attendre le ministère du maréchal Soult, qui contribue par ailleurs à améliorer la situation matérielle des gendarmes, pour que ceux-ci retrouvent, par une décision du 28 janvier 1841, le droit et l'obligation de porter la moustache.

A partir de 1846, elle doit être taillée en brosse. Mais surtout, en octobre 1848, la République naissante autorise les gendarmes à porter la mouche – touffe de poils au-dessous de la lèvre inférieur -, un signe honorifique que certains arborent avec orgueil. 

Le port de la moustache demeure obligatoire jusqu'en 1933. Tout comme le bicorne, la moustache, à elle seule, a puissamment contribué à fixer l'image des gendarmes dans l'imaginaire collectif des français."

Avec du retard, bienvenue au Village