Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Louxor a écrit:

Il n'a pas tort. Il existe aussi de fausses " calabsh" des pipes qui imitent la forme de la calebase, sans avoir d'insert amovible et pas de chambre de décompression. J'en ai trois de ce type. Des Brebbia " First calabash' dont la qualité excellente de la bruyère, les rend particulièrement douces à fumer. J'en ai acheté 3 pour être à même de juger s'il y avait un différence de qualité en très les 3.

Elles sont superbes, et l'évocation de la forme de la "vraie" calebasse est très réussie.

Ce sont des montages "spigot"? (désolé, je ne connais pas le mot français pour ça).

J'en ai une, le montage est à tenon pour filtre 9mm

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Louxor a écrit:

Il n'a pas tort. Il existe aussi de fausses " calabsh" des pipes qui imitent la forme de la calebase, sans avoir d'insert amovible et pas de chambre de décompression. J'en ai trois de ce type. Des Brebbia " First calabash' dont la qualité excellente de la bruyère, les rend particulièrement douces à fumer. J'en ai acheté 3 pour être à même de juger s'il y avait un différence de qualité entre les 3.

Elles sont superbes, et l'évocation de la forme de la "vraie" calebasse est très réussie.

Ce sont des montages "spigot"? (désolé, je ne connais pas le mot français pour ça).

 Voici le montage, non ce n'est pas un spigot, il y a juste la bague en argent. Ce sont des pipes avec un filtre 9mm, livrée avec un réducteur, pour les fumer sans filtre.
En français " spigot se traduit par embout, emboitement, etc...Mais usuellement, on utilise le mot " spigot" 

Louxor a écrit:

 Voici le montage, non ce n'est pas un spigot, il y a juste la bague en argent. Ce sont des pipes avec un filtre 9mm, livrée avec un réducteur, pour les fumer sans filtre.
En français " spigot se traduit par embout, emboitement, etc...Mais usuellement, on utilise le mot " spigot"

Merci de ces précisions, elle est fort belle.

J'avoue lire le plus possible en anglais. Je suis autodidacte en la matière, ayant eu une scolarité absolument lamentable, je n'ai donc jamais appris l'anglais à l'école. Le résultat : j'ai un vocabulaire technique plus étendu en anglais qu'en français concernant la mécanique et les voitures anciennes en général, et quelques autres sujets, comme les bouffardes

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Louxor a écrit:

 Voici le montage, non ce n'est pas un spigot, il y a juste la bague en argent. Ce sont des pipes avec un filtre 9mm, livrée avec un réducteur, pour les fumer sans filtre.
En français " spigot se traduit par embout, emboitement, etc...Mais usuellement, on utilise le mot " spigot"

Merci de ces précisions, elle est fort belle.

J'avoue lire le plus possible en anglais. Je suis autodidacte en la matière, ayant eu une scolarité absolument lamentable, je n'ai donc jamais appris l'anglais à l'école. Le résultat : j'ai un vocabulaire technique plus étendu en anglais qu'en français concernant la mécanique et les voitures anciennes en général, et quelques autres sujets, comme les bouffardes

Salut MdM, 

Merci de te dévoiler ainsi, celà me permet de relativiser et de rassurer ma fille qui déteste l’école. Elle a huit ans et dès la maternelle je devais tous les jours m’assurer qu’elle reste bien dans l’école quand je la déposait le matin car elle cherchait par tous les moyens de fuguer pour se promener dans les champs ou la forêt. Ce qui est toujours le cas aujourd’hui. Quand la maitresse lui demande d’arreter de regarder par la fenêtre de la classe, Faustine lui répond que les oiseaux sont bien aussi interessants que les multiplications. Etant très respectueuse et polie, ça passe avec sa maitresse qui remet en question les tables et lui indique qu’il faut aussi faire ses multiplications...

Bonne journée chômée

Désolé du hors sujet  

Pour tout vous dire, je n'ai même pas mon bac, j'ai redoublé deux fois en CM1 et en 6em. Maintenant, je suis-enseignant chercheur, (et président de jury de bac chaque année)

@Popeye
Ta fille a un don naturel pour la nature, il faut la pousser à cultiver ce don car est le don plus précieux

natalefr a écrit:

@Popeye
Ta fille a un don naturel pour la nature, il faut la pousser à cultiver ce don car est le don plus précieux

Oui, par exemple l'utilisation des multiplication pour les populations de rongeurs... 

Dunhill  " Calabash "

Elle est absolument superbe

Très jolie

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Elle est absolument superbe

LeGaulois a écrit:

Très jolie

Je dirais même plus, ça fait rêver  

Juste parfaite veut la même quand je serais grand

Je l'ai déjà dit, mais je le répète, je ne sais pas comment ils se débrouillaient chez Dunhill pour dégoter des calebasses aussi parfaites.Ce genre de pipe à toujours un petit défaut, tuyau légèrement désaxé la plante ayant poussé de travers, imperfection sur le corps de la courge, etc...

Avec les Dunhill, jamais. Je n'ose imaginer quel était le taux de rejets.

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Je l'ai déjà dit, mais je le répète, je ne sais pas comment ils se débrouillaient chez Dunhill pour dégoter des calebasses aussi parfaites.Ce genre de pipe à toujours un petit défaut, tuyau légèrement désaxé la plante ayant poussé de travers, imperfection sur le corps de la courge, etc...

Avec les Dunhill, jamais. Je n'ose imaginer quel était le taux de rejets.

La sélection des matières premières, chez Dunhill, à toujours été très rigoureuse, que cela soit pour les " calabash" ou les bruyères. Voici ce que déclaraient dans une interview, en 2010, Messieurs Hener et Wilson, les responsables de la marque, connue aujourd'hui sous le label " The white spot ":

" Si les pipes Parker et Charatan peuvent être calibrées et estampillées dans la même usine que celle où sont fabriquées les pipes Dunhill, ces deux responsables soulignent tous deux avec force, que la production de ces pipes est complètement différente à tous les autres égards.
"Ce n'est pas du tout le même produit", explique Hener. "Les pipes Parker et Charatan ne subissent pas le même processus de séchage que les pipes White Spot, et les pipes Parker ont des colmatages alors que les pipes Dunhill n'en ont jamais".
"Une pipe Dunhill a un tuyau entièrement fait à la main pour chaque pipe, alors que Parker a des tuyaux moulés préfabriqués", ajoute Wilson. "Une pipe Dunhill qui est rejetée ne deviendra pas une pipe Parker ou Charatan. Nous achetons un bois différent pour ces pipes, qui n'est pas de la même qualité que la bruyère utilisée pour Dunhill. Je suis ici depuis 40 ans et je peux vous dire que les mêmes normes de qualité qui étaient en vigueur en 1969 le sont toujours aujourd'hui. Le produit que nous fabriquons aujourd'hui est associé à la même qualité qu'il y a 40 ans. Nous utilisons les mêmes procédés et les mêmes matériaux. Sur 100 blocs de bois que nous commençons à tourner, seuls 3 à 7 % deviendront une pipe White Spot. Les pipes que nous rejetons sont coupées en deux et brûlées, car nous n'en faisons pas des secondes ou des troisièmes catégories. Il n'y a qu'une seule qualité pour une pipe Dunhill - soit c'est une pipe Dunhill, soit ce n'en est pas une.

Il y a des pipiers indépendants qui fabriquent de fabuleuses pipes à main levée, que j'admire, mais nous sommes dans un modèle différent, nous fabriquons surtout des pipes de classe - c'est ce qui fait la réputation d'une Dunhill et notre signature ; nous fabriquons des pipes de qualité qui sont très légères et ont les meilleures caractéristiques de fumage dès le départ. Compte tenu du grand nombre de formes, de tailles et de finitions différentes que nous fabriquons, nous avons une disponibilité relativement bonne, bien que nous ne puissions jamais produire assez de pipes pour satisfaire toute la demande, mais c'est ce dont nous devons nous accommoder."

Si Hener et Wilson insistent tous deux sur le fait qu'il n'y a pas grand-chose en commun entre les pipes Parker, Charatan et Dunhill, ils réfutent avec passion les informations selon lesquelles les pipes Dunhill seraient fabriquées ailleurs que dans l'usine de St Andrews Road.
"Les rumeurs selon lesquelles nos pipes Dunhill sont fabriquées à Saint-Claude, en France, sont totalement fausses", déclare sans ambages Hener. Lors d'une visite de l'usine, M. Wilson montre deux employés qui travaillent avec des scies à ruban, coupant des blocs et les façonnant en bols bruts, et il ajoute : "Je pense que ces rumeurs proviennent d'autres sociétés qui sont jalouses de notre position. Elles nous envient notre position et notre réputation sur le marché et elles veulent essayer de nous faire tomber un peu. Toutes les têtes de pipes " White Spot " sont tournées dans l'usine du nord de Londres ".

En effet, la position de Dunhill au sommet du marché de la pipe est solide. Selon M. Hener, en 2009, les ventes aux seuls États-Unis ont augmenté de plus de 60 %, ce qui en fait le premier marché pour les pipes Dunhill. Et l'année 2010 s'annonce aussi bonne.

Donc quel pipier actuellement ne garde que 3 à 7% des têtes qu'il commence à tourner pour en faire une pipe commercialisable?  

C'est l'un des nombreux facteurs qui fait le prix d'une Dunhill., qui tout bien regardé, par rapport à des marques industrielles comme Castello, pour n'en citer qu'une qui lui est parfois comparée, ou des pipes artisanales de Maîtres pipiers célèbres, est loin d'être élevé...

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Désolé du hors sujet  

Pour tout vous dire, je n'ai même pas mon bac, j'ai redoublé deux fois en CM1 et en 6em. Maintenant, je suis-enseignant chercheur, (et président de jury de bac chaque année)

Je comprends mieux pourquoi le niveau général baisse 

Brase d'Anjou a écrit:

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Elle est absolument superbe

LeGaulois a écrit:

Très jolie

Je dirais même plus, ça fait rêver  

Je rêve déjà !

Louxor a écrit:

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Je l'ai déjà dit, mais je le répète, je ne sais pas comment ils se débrouillaient chez Dunhill pour dégoter des calebasses aussi parfaites.Ce genre de pipe à toujours un petit défaut, tuyau légèrement désaxé la plante ayant poussé de travers, imperfection sur le corps de la courge, etc...

Avec les Dunhill, jamais. Je n'ose imaginer quel était le taux de rejets.

La sélection des matières premières, chez Dunhill, à toujours été très rigoureuse, que cela soit pour les " calabash" ou les bruyères. Voici ce que déclaraient dans une interview, en 2010, Messieurs Hener et Wilson, les responsables de la marque, connue aujourd'hui sous le label " The white spot ":

" Si les pipes Parker et Charatan peuvent être calibrées et estampillées dans la même usine que celle où sont fabriquées les pipes Dunhill, ces deux responsables soulignent tous deux avec force, que la production de ces pipes est complètement différente à tous les autres égards.
"Ce n'est pas du tout le même produit", explique Hener. "Les pipes Parker et Charatan ne subissent pas le même processus de séchage que les pipes White Spot, et les pipes Parker ont des colmatages alors que les pipes Dunhill n'en ont jamais".
"Une pipe Dunhill a un tuyau entièrement fait à la main pour chaque pipe, alors que Parker a des tuyaux moulés préfabriqués", ajoute Wilson. "Une pipe Dunhill qui est rejetée ne deviendra pas une pipe Parker ou Charatan. Nous achetons un bois différent pour ces pipes, qui n'est pas de la même qualité que la bruyère utilisée pour Dunhill. Je suis ici depuis 40 ans et je peux vous dire que les mêmes normes de qualité qui étaient en vigueur en 1969 le sont toujours aujourd'hui. Le produit que nous fabriquons aujourd'hui est associé à la même qualité qu'il y a 40 ans. Nous utilisons les mêmes procédés et les mêmes matériaux. Sur 100 blocs de bois que nous commençons à tourner, seuls 3 à 7 % deviendront une pipe White Spot. Les pipes que nous rejetons sont coupées en deux et brûlées, car nous n'en faisons pas des secondes ou des troisièmes catégories. Il n'y a qu'une seule qualité pour une pipe Dunhill - soit c'est une pipe Dunhill, soit ce n'en est pas une.

Il y a des pipiers indépendants qui fabriquent de fabuleuses pipes à main levée, que j'admire, mais nous sommes dans un modèle différent, nous fabriquons surtout des pipes de classe - c'est ce qui fait la réputation d'une Dunhill et notre signature ; nous fabriquons des pipes de qualité qui sont très légères et ont les meilleures caractéristiques de fumage dès le départ. Compte tenu du grand nombre de formes, de tailles et de finitions différentes que nous fabriquons, nous avons une disponibilité relativement bonne, bien que nous ne puissions jamais produire assez de pipes pour satisfaire toute la demande, mais c'est ce dont nous devons nous accommoder."

Si Hener et Wilson insistent tous deux sur le fait qu'il n'y a pas grand-chose en commun entre les pipes Parker, Charatan et Dunhill, ils réfutent avec passion les informations selon lesquelles les pipes Dunhill seraient fabriquées ailleurs que dans l'usine de St Andrews Road.
"Les rumeurs selon lesquelles nos pipes Dunhill sont fabriquées à Saint-Claude, en France, sont totalement fausses", déclare sans ambages Hener. Lors d'une visite de l'usine, M. Wilson montre deux employés qui travaillent avec des scies à ruban, coupant des blocs et les façonnant en bols bruts, et il ajoute : "Je pense que ces rumeurs proviennent d'autres sociétés qui sont jalouses de notre position. Elles nous envient notre position et notre réputation sur le marché et elles veulent essayer de nous faire tomber un peu. Toutes les têtes de pipes " White Spot " sont tournées dans l'usine du nord de Londres ".

En effet, la position de Dunhill au sommet du marché de la pipe est solide. Selon M. Hener, en 2009, les ventes aux seuls États-Unis ont augmenté de plus de 60 %, ce qui en fait le premier marché pour les pipes Dunhill. Et l'année 2010 s'annonce aussi bonne.

Donc quel pipier actuellement ne garde que 3 à 7% des têtes qu'il commence à tourner pour en faire une pipe commercialisable?  

C'est l'un des nombreux facteurs qui fait le prix d'une Dunhill., qui tout bien regardé, par rapport à des marques industrielles comme Castello, pour n'en citer qu'une qui lui est parfois comparée, ou des pipes artisanales de Maîtres pipiers célèbres, est loin d'être élevé...

Heu... et personnellement, sans se retrancher derrière un communiqué de presse forcément élogieux, tu en dirais quoi ? Zéro défaut, pas un ajustage limite, pas un microbullage du vernis, pas un angle de courbure décalé ? On est vraiment sur de l'absolue perfection ?

L'article ne dit pas toute la vérité (évidemment), sur YouTube un professionnel américain de la réparation (on est au top de la réparation voir maniacal )  montre que aussi Dunhill fait des ratés qui sont commercialisés donc on arrête le délire de la perfection et bla bla bla si on veut la perfection on ne met pas en vente ce raté dont la vidéo donc même chez eux arrive la faute, bien sur on peut insinuer que cette pipe est fausse mais vu le calibre et les connaissances du réparateur... 
C'est évident que Dunhill comme tout fabricant a un service marketing que doit défendre à tout prix sa réputation 
 
Castello n'a rien à envier à Dunhill ils ont une très haute qualité si on la veux, je n'aime pas que Dunhill jette sur eux et sur les autres de la méprise bon les anglais ont cette habitude...
Dunhill est haut de gamme bien sur mais la perfection n'existe pas sur cette terre

Ernie a écrit:

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Désolé du hors sujet  

Pour tout vous dire, je n'ai même pas mon bac, j'ai redoublé deux fois en CM1 et en 6em. Maintenant, je suis-enseignant chercheur, (et président de jury de bac chaque année)

Je comprends mieux pourquoi le niveau général baisse 

Enflure

Ernie a écrit:

Heu... et personnellement, sans se retrancher derrière un communiqué de presse forcément élogieux, tu en dirais quoi ? Zéro défaut, pas un ajustage limite, pas un microbullage du vernis, pas un angle de courbure décalé ? On est vraiment sur de l'absolue perfection ?

Le parfait n'existe pas, mais toutes les pipes Dunhill que j'ai pu examiner étaient d'une excellente qualité tant du point de vue de la bruyère que de la fabrication. On sent vraiment qu'il s'agit d'un travail d'un très haut niveau.

Après, je ne sais pas ce qu'il en est réellement des bruyères rejetées et prétendument détruites.   Ce que je sais en revanche, c'est que lorsque Peterson reçoit ses foyers prétournées d'Italie, ils les choisissent en fonction de leur qualité et que seules les belles bruyères sont utilisées pour leur haut de gamme.

Ernie a écrit:

Heu... et personnellement, sans se retrancher derrière un communiqué de presse forcément élogieux, tu en dirais quoi ? Zéro défaut, pas un ajustage limite, pas un microbullage du vernis, pas un angle de courbure décalé ? On est vraiment sur de l'absolue perfection ?

Regarde mon vidéo, sont plusieurs vidéos à propos de cette réparation e tu verra aussi le grossier défaut sur un flanc de la pipe 
Dunhill est l'excellence mais personne est à l'abris des défauts ...

Monsieur De Mesmaeker a écrit:

Le parfait n'existe pas, mais toutes les pipes Dunhill que j'ai pu examiner étaient d'une excellente qualité tant du point de vue de la bruyère que de la fabrication. On sent vraiment qu'il s'agit d'un travail d'un très haut niveau.

Après, je ne sais pas ce qu'il en est réellement des bruyères rejetées et prétendument détruites.   Ce que je sais en revanche, c'est que lorsque Peterson reçoit ses foyers prétournées d'Italie, ils les choisissent en fonction de leur qualité et que seules les belles bruyères sont utilisées pour leur haut de gamme.

Information intéressante. J'ignorais que Peterson utilisait des prétournées. Est-ce le cas pour plusieurs
de ses gammes ? Parce que sur leurs vidéos publicitaires, on a l'impression que tout est fait en Irlande
à partir des ébauchons jusqu'à la dernière finition...

natalefr a écrit:

Dunhill est l'excellence mais personne est à l'abris des défauts ...

Je suis d'accord avec toi et MDM. Il faut faire la distinction entre l'excellence cultivée par l'entreprise et sans
laquelle la réputation de la marque ne se maintiendrait pas longtemps et le mythe de la perfection que peut
mettre en avant la même entreprise mais qui est justement de l'ordre du mythe...

Sesomiris a écrit:

Information intéressante. J'ignorais que Peterson utilisait des prétournées. Est-ce le cas pour plusieurs
de ses gammes ? Parce que sur leurs vidéos publicitaires, on a l'impression que tout est fait en Irlande
à partir des ébauchons jusqu'à la dernière finition...

Il y a belle lurette que sauf pour quelques modèles préstigieux, ils ne tournent plus leurs foyers à Sallynoggin. La première fois que j'ai visité l'usine dans les années 80, ils ne le faisaient déjà plus.

Sesomiris a écrit:

Je suis d'accord avec toi et MDM. Il faut faire la distinction entre l'excellence cultivée par l'entreprise et sans
laquelle la réputation de la marque ne se maintiendrait pas longtemps et le mythe de la perfection que peut
mettre en avant la même entreprise mais qui est justement de l'ordre du mythe...

Ca me rappelle dans le genre marque mythique, ce qui se faisait chez Rolls-Royce. Le travail était d'une qualité incroyable, sans aucun soucis de rentabilité mais ça ne les empêchait pas de laisser courir les légendes sans les démentir, voire en les alimentant....

Je ne suis pas d’accord la perfection dunhill existe.
J en ai deux elles sont parfaites toutes deux
Donc 100 %


Dont acte

Je sors

natalefr a écrit:

Dunhill est l'excellence mais personne est à l'abris des défauts ...

Oui, absolument personne...  Même si lepoulpe est à 100% avec ses Dunhill  

Et quelque soient les fabrications dont les matériaux sont totalement issus de la nature. Surtout quand ils sont façonnés par la main de l'homme (bois, cuir, pierre, etc...)
Pour le haut de gamme, les rejets sont parfois incroyables et expliquent le prix final parfois exorbitant.
Personnellement, ayant souvent assisté à des rejets pour des défauts presque invisibles, j'ai tendance à réagir devant cette intolérance et j'accepte de plus en plus d'acheter des produits avec des petites imperfections. 
Elles prouvent que la matière est bien naturelle et pas du plastique ou un autre matériau de synthèse industrielle.

Brase d'Anjou a écrit:

natalefr a écrit:

Dunhill est l'excellence mais personne est à l'abris des défauts ...

Oui, absolument personne...  Même si lepoulpe est à 100% avec ses Dunhill  

Et quelque soient les fabrications dont les matériaux sont totalement issus de la nature. Surtout quand ils sont façonnés par la main de l'homme (bois, cuir, pierre, etc...)
Pour le haut de gamme, les rejets sont parfois incroyables et expliquent le prix final parfois exorbitant.
Personnellement, ayant souvent assisté à des rejets pour des défauts presque invisibles, j'ai tendance à réagir devant cette intolérance et j'accepte de plus en plus d'acheter des produits avec des petites imperfections. 
Elles prouvent que la matière est bien naturelle et pas du plastique ou un autre matériau de synthèse industrielle.

Merci pour cette belle philosophie, Brase. La nature humaine est pleine de défauts mais on souhaiterait parfois
être environnés d'objets et de personnes exempts de tout défaut... Que de contradictions...