A TOUS, PRESENTS ET A VENIR, SALUT.

Un breuvage de Chanoine, car je mets du "quatre six dans mon vin vin"

Un peu capilotracté mais bon.

Ce midi, du Seven Seas RB dans une Dénicotinéa 9mm bien sûr.

A plus,

Frère Marc.

Pour moi un fond de culotte (le fond de culotte ne s'use qu'assis)

Je boirais bien un "Chakouché", mais on ne doit plus en trouver !
Je ne sais même plus la marque, c'était un "quina"* que je piquais discrètement à ma grand-mère (qui aurait 120 ans!)...
Peut être un Dubonnet, en tout cas, il y avait un chat couché sur l'étiquette.
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*Anecdote: Ces apéros "de femme" (les hommes buvaient du pastis), ont été créés à la "grande" époque coloniale, car son composant essentiel était une plante, le Cinchona officinalis, aux vertus antipaludéennes, belle occasion pour les anciens coloniaux de se piquer la ruche.
Au début des années 50, mes grands-parents qui tenaient un "café-auto-école" (vous avez bien lu), vendaient ce breuvage. J'entends encore d'anciens poilus, dire, fortement: "Nini, un Chakouché"!, le "s'il te plait" étant en option... Quoi! Ce n'était qu’une femme...

Merci Octave, c'est bien ça !

Et le chinchona officinalis est appelé communément quinquina.

J'aimais bien chez ma grand mère il y avait le chacouché, le byrrh, le Saint Raphael.... Tiens, je vais en acheter.

Les 2 sortes de St-Raphael ! Je me souviens du Byrrh, il y a moins de 20 ans, une tenancière du prénom de Brigitte, était surnommée Byrrh-Guitte car elle buvait ça, un vin cuit, disait-on...

N'est ce pas elle qui disait  :rien ne plait tant au matin qu'un bon coup de Byrrh?

Du sur mesure! Bravo! Byrrh du matin, vaut mille bottes...

Et bien moi je valide ton jeu de mot Marc, digne des grandes heures de la Fripaille (qui m'avait marqué avec son "que fume t on dans mars huit présidentielle")

L'auvergnat a écrit:

Je boirais bien un "Chakouché", mais on ne doit plus en trouver !
Je ne sais même plus la marque, c'était un "quina"* que je piquais discrètement à ma grand-mère (qui aurait 120 ans!)...
Peut être un Dubonnet, en tout cas, il y avait un chat couché sur l'étiquette.
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*Anecdote: Ces apéros "de femme" (les hommes buvaient du pastis), ont été créés à la "grande" époque coloniale, car son composant essentiel était une plante, le Cinchona officinalis, aux vertus antipaludéennes, belle occasion pour les anciens coloniaux de se piquer la ruche.
Au début des années 50, mes grands-parents qui tenaient un "café-auto-école" (vous avez bien lu), vendaient ce breuvage. J'entends encore d'anciens poilus, dire, fortement: "Nini, un Chakouché"!, le "s'il te plait" étant en option... Quoi! Ce n'était qu’une femme...

Oui moi aussi j'aime bien les vieux quina, mais chakouche ça je ne connais pas ?