J'ai allumé une BC et cette petite histoire a commencé à tourner dans ma tête.
J'ai pris mon stylo, du papier et voilà.
L'espace ci-dessous est encombré 

Mais mes neurones sont libérés.

Au milieu de la folie
Que provoque la pandémie
On subit tous les changements
Dus à ce bouleversement
 
Rien ne se passe comme avant.
Qu’on soit d’accord ou mécontent.
Bien des habitudes ont péri.
Les embrassades c’est fini.
 
Pourtant dans ce monde si gris,
Un petit espoir nous sourit.
Oh! bien sûr il n’est pas bien grand,
Et certains vont le détestant.
 
Que ce soit du blond ou du gris
Qu’en son fourneau on introduit,
On y met le feu calmement.
On la fume sereinement.
 
Dans ce monde en confinement,
Elle nous offre, aimablement,
Un petit coin de paradis
Où s’effacent tous nos souci.
 
Ô que je plains sincèrement
Ceux qui, subissant ces tourments,
Sont privés par un sort maudit
De ce cautère à leur dépit.
 

LA PIPE! ! !

Combien tu as raison, William ... 
Ces petits riens, ces "à-côtés" d'alors sont aujourd'hui la colonne vertébrale de notre psyché résilience.

" Dans ce monde en confinement,
  Elle nous offre, aimablement,
  Un petit coin de paradis
  Où s’effacent tous nos souci. "


Ça c'est bien vrai William !
Même si parfois à partir du 2ème tiers ils reviennent à la charge  

Voilà des paroles amples de vérité, merci William, je songeais justement à ça tout à l'heure au bord de l'Yonne, digerant mon repas réchauffe par le soleil d'automne et la fumée de mon tabac, en père peinard, snobant de mon comportement le reste de la population. Qui a dit que le fumeur de pipe avait parfois un air pédant ? 

Merci William!