Tous les jours je passais dans cette rue. Tous les jours. La routine. Les mêmes boutiques, les mêmes pavés, les mêmes fenêtres, souvent les mêmes visages. 

Et puis, un jour pas comme un autre, je l'ai remarquée. Elle devait venir d'arriver dans le magasin. Au début je n'y ai pas plus prêté attention. Et puis un autre jour, j'ai saute le pas. Je l'ai abordé. Même si son patron m'a traité de fumiste.

Finalement, deux jours plus tard, elle m'accompagnait, passant la porte de son magasin, tandis que son patron baissait le rideau, pas mécontent finalement. Ce n'était pourtant pas son père mais je lui avais proposé ma main. 

On s'est retrouvé tous les deux, sur un banc dans un parc non loin, en cette douce fin de journée printanière. Timidement j'ai posé ma main, touchant enfin sa peau, du bout des doigts, délicatement. Elle était douce. Mon regard se plongeait dans ses yeux de perdrix si séduisant.
Je laissais glisser mes doigts dans les cheveux blonds, qui sentaient si bon. Ses courbes élancées, sa bouche, tout m'appelait.
Je l'allumais comme jamais je ne l'avais fait. Finalement, mes lèvres sur les siennes, j'aspirais délicatement son haleine si chaude et agréable, qui inondait ma langue, profitant de toutes ses odeurs. 
Je devinais dès lors qu'une longue et belle histoire commençait avec ma nouvelle pipe de bruyère.

Mazette eh ! C'est hot !
Qui est elle, la douce qui partage tes pensées ?

BobyLaGanache a écrit:

Mazette eh ! C'est hot !
Qui est elle, la douce qui partage tes pensées ?

Oh je voulais écrire un truc de presque erotique mais pour personnifiée ma pipe en ge eral, donc personne en particulier. 
J'aurais pu parler de cheveux bruns, puisqu'ils représentent le tabac

Pierrot Gourmand a écrit:

Tous les jours je passais dans cette rue. Tous les jours. La routine. Les mêmes boutiques, les mêmes pavés, les mêmes fenêtres, souvent les mêmes visages. 

Et puis, un jour pas comme un autre, je l'ai remarquée. Elle devait venir d'arriver dans le magasin. Au début je n'y ai pas plus prêté attention. Et puis un autre jour, j'ai saute le pas. Je l'ai abordé. Même si son patron m'a traité de fumiste.

Finalement, deux jours plus tard, elle m'accompagnait, passant la porte de son magasin, tandis que son patron baissait le rideau, pas mécontent finalement. Ce n'était pourtant pas son père mais je lui avais proposé ma main. 

On s'est retrouvé tous les deux, sur un banc dans un parc non loin, et cette douce fin de journée printanière. Timidement j'ai posé ma main, touchant enfin sa peau, du bout des doigts, délicatement. Elle était douce. Mon regard se plongée ait dans ses yeux de perdrix si séduisant.
Je laissais glisser mes doigts dans les cheveux blonds, qui sentaient si bon. Ses courbes élancées, sa bouche, tout m'appelait.
Je l'allumais comme jamais je ne l'avais fait. Finalement, mes lèvres sur les siennes, jnaspirais délicatement son haleine si chaude et agréable, profitant de toutes ses odeurs. 
Je devinais dès lors qu'une longue et belle histoire commençait avec ma nouvelle pipe de bruyère.

Chapeau bas, m'sieur l'maire, pour ce texte on ne peut moins municipal ! 

Ces moment en compagnie de tes belles alors ? Faudrait pas qu'elles soient trop possessives...

Dit ça pourrait être des cheveux gris...
Quoi ? Y a bien marqué monument la non ?

BobyLaGanache a écrit:

Ces moment en compagnie de tes belles alors ? Faudrait pas qu'elles soient trop possessives...

Dit ça pourrait être des cheveux gris...
Quoi ? Y a bien marqué monument la non ?

Je pourrais fumer du gris hein  

Joli Pierrot ! 

Merci. 

Je réalise que je n'évoque même pas sa culotte 
Vu que c'est une pipe neuve, j'imagine qu elle n'en a pas 

Très beau! Bravo Pierrot! 

Ainsi donc ce serait vrai?
IL y a un satyre qui rôde.
Il est tout doux tout gentil et puis paf! Il t'allume et il n'est satisfait que quand ça tire bien.
En plus il parait qu'il connait des tas de trucs à faire à toutes tes copines. Culottage, grattage, cirage, curage.
Et puis paf! bourrage!
IL semblerait, même qu'il n'hésite pas à proposer un démontage pour nettoyer les orifices.

Totoche: Jusqu'à nouvel ordre: défense de sortir sans moi!

très bien écrit  merci pour ce passage humide et suave

ouh la! c'est chaud dans les foyers .

Mais vous êtes déchainés, hier soir ! ^^

Un régal en tout cas

Merci les gars. 

@William tu peux rassurer Totoche et toi même, je suis fidèle à mes belles, et n'empiete pas chez les autres (mais de la à faire de moi un satyre lol). 

Bon sang j'ai oublier de dire que je la bourrais

La Bourrage et Pas Turage....

Pierrot Gourmand a écrit:

Tous les jours je passais dans cette rue. Tous les jours. La routine. Les mêmes boutiques, les mêmes pavés, les mêmes fenêtres, souvent les mêmes visages. 

Et puis, un jour pas comme un autre, je l'ai remarquée. Elle devait venir d'arriver dans le magasin. Au début je n'y ai pas plus prêté attention. Et puis un autre jour, j'ai saute le pas. Je l'ai abordé. Même si son patron m'a traité de fumiste.

Finalement, deux jours plus tard, elle m'accompagnait, passant la porte de son magasin, tandis que son patron baissait le rideau, pas mécontent finalement. Ce n'était pourtant pas son père mais je lui avais proposé ma main. 

On s'est retrouvé tous les deux, sur un banc dans un parc non loin, en cette douce fin de journée printanière. Timidement j'ai posé ma main, touchant enfin sa peau, du bout des doigts, délicatement. Elle était douce. Mon regard se plongeait dans ses yeux de perdrix si séduisant.
Je laissais glisser mes doigts dans les cheveux blonds, qui sentaient si bon. Ses courbes élancées, sa bouche, tout m'appelait.
Je l'allumais comme jamais je ne l'avais fait. Finalement, mes lèvres sur les siennes, j'aspirais délicatement son haleine si chaude et agréable, qui inondait ma langue, profitant de toutes ses odeurs. 
Je devinais dès lors qu'une longue et belle histoire commençait avec ma nouvelle pipe de bruyère.

Superbe ! Bravo, très évocateur !

Au fait, elle n'était pas culottée ?

Pierrot Gourmand a écrit:

Merci les gars. 

@William tu peux rassurer Totoche et toi même, je suis fidèle à mes belles, et n'empiete pas chez les autres (mais de la à faire de moi un satyre lol). 

Bon sang j'ai oublier de dire que je la bourrais

C'est fait. j'ai passé l'information à Totoche.
Elle est rassurée.
Je lui ai dit que je levais l'interdiction
Sa réponse m'a un peu étonné.
"Même pendant le couvre-feu?"
Alors maintenant, j'ai des doutes. 
Pourtant cela fait plus de trente ans qu'on se fréquente.
Mais, c'est bien connu les belles, même touchées par Saturne, aiment laisser planer l'inquiétude.
Je crois qu'elle me fait marcher.
Elle sait bien que chez les fumeurs de pipe, si leur tabac par en fumée, leur fidélité est sans faille.
Chez les belles? 
Il semble que certaines changent d'amant.
Toujours la même excuse: "C'est lui qui m'a abandonnée". Certaines prétendent même avoir été vendues!
Que ne faut-il pas entendre!
Vrai? Faux?
Va savoir...

Bravo à vous, vous êtes en grande forme ^^

Bonjour à totoche...

Pierrot Gourmand a écrit:

Merci. 

Je réalise que je n'évoque même pas sa culotte 
Vu que c'est une pipe neuve, j'imagine qu elle n'en a pas 

Et attention, pas de précipitation, ce serait dommage de la faire glouglouter...

En effet tout le monde en forme 

Bon faudra quand même que je le reprenne un peu mieux et posément.