Je suis perdu comme dans un roman de Tolstoï : trop de personnages aux noms qui se ressemblent (Chanlier, Flavier, Lannier...) On ne sait plus qui est qui! Qui est mort et qui est vivant? Arghh, le sol se derobe sous nos pieds... Vivement que tout s'eclaircisse!

Chanlier devrait être mort, Lannie et Sautry sont deux anciens je crois, flavier je ne sais plus.

Mais l'on s'en moque quel nid de guêpe, on ne sait plus qui joue quel jeu, quel est le bon camp... Argh

C'est ça qui est drôle, non?
Imaginez l'intérieur de ma cervelle!
Et mon angoisse en me demandant ce qu'il va arriver.
D'autant que je ne peux pas attendre la sortie du chapitre suivant sur ALNB pour le savoir.
En fait, moi aussi ma tête joue à: Qu'est-ce qu'il va arriver?
Heureusement il y a ma pipe et mon tabac! 
Je dis ''ma pipe" parce que la nuit, quand je rame, c'est le plus souvent Totoche qui vient à mon secours.
Le résultat n'est pas forcément terrible, mais bon, on fait de notre mieux.
Quelquefois, quand il n'est que vingt trois heures ou vingt trois heures trente, c'est la grosse Maigret BC qui prend les commandes. Mais là ça veut dire au moins deux heures de grattage de tête.
Bonne journée à tous Et supputez bien!

Nous te lisons avec le plus grand plaisir, William, mais ménage-toi tout de même...
Ce que tu dis me fait penser aux paroles de Simenon lorsqu'il affirmait que la pipe
"est à la fois le repos du guerrier et le médicament de l'écrivain".
En général, il était dans un état d'épuisement à la fin de l'écriture d'un roman...

Ci-dessous, l'entretien très connu avec le grand Georges et sans doute déjà publié maintes fois sur ce forum :

https://notrehistoire.ch/entries/QqNWjrkqWkr

Ça me rappelle vers chez moi un château type 18e siècle, qui semblait presque abandonné. On s'en approche avec ma mère mon frère m'a tante et ma cousine lors d'une promenade dominicale dans le département, déplorant qu'un tel bâtiment risque un jour de disparaître. Volet fermé, herbe qui pousse, peu de preuve de passage. 

Et la on entend une voix, il y avait un interphone, la voix nous a demandé ce qu'on faisait la et nous a invité fermement à partir. Je me suis toujours demandé ce que c'était ce lieu finalement.

Jaufré Cantolys a écrit:

Je suis perdu comme dans un roman de Tolstoï : trop de personnages aux noms qui se ressemblent

Excellente idée ! Je verrais bien quelques Russes qui entrent en action et qui seraient nommés alternativement
par leur prénom, leur diminutif  ou leur patronyme à deux noms, histoire de perdre un peu plus le lecteur.
Sinon, dans ta prochaine oeuvre, William, car là, ajouter une piste russe à la piste pakistanaise, ça ferait peut-être trop pour le lecteur comme pour l'auteur... 

Sesomiris a écrit:

Jaufré Cantolys a écrit:

Je suis perdu comme dans un roman de Tolstoï : trop de personnages aux noms qui se ressemblent

Excellente idée ! Je verrais bien quelques Russes qui entrent en action et qui seraient nommés alternativement
par leur prénom, leur diminutif  ou leur patronyme à deux noms, histoire de perdre un peu plus le lecteur.
Sinon, dans ta prochaine oeuvre, William, car là, ajouter une piste russe à la piste pakistanaise, ça ferait peut-être trop pour le lecteur comme pour l'auteur... 

Le différence entre ceux qui lise et celui qui écrit c'est que celui qui lit peut s'arrêter où il veut. Celui qui écrit c'est d'ne certaine façon, engagé à finir l'histoire quand il l'a commencée.
Je lis toutes les suggestions et aussi toutes les remarques parce que je les sais toutes amicales.
Elles m'ont aidé pour mettre de l'ordre dans ma tête pour continuer l'histoire de façon cohérente.
Merci à tous.
Un merci particulier à Brase qui 
Et Jaufré a raison, je n'ai absolument pas rapproché les noms. je les ai inventés l'un après l'autre.
J'ai appris quelque chose. 
Mon excuse: Je ne suis pas un écrivain. Juste un vieux fumeur de pipe qui a du mal à s'endormir avant 2 heures du matin.

Brase d'Anjou a écrit:

Le boîte y a une maison sécurisée pour les débriefings en court de mission.
Lègèrement à l’écart. Avec une immense grange où l’on peut garer plusieurs voitures pour les cacher à la vue d’éventuels curieux.

Oups!

Sesomiris a écrit:

Nous te lisons avec le plus grand plaisir, William, mais ménage-toi tout de même...
Ce que tu dis me fait penser aux paroles de Simenon lorsqu'il affirmait que la pipe
"est à la fois le repos du guerrier et le médicament de l'écrivain".
En général, il était dans un état d'épuisement à la fin de l'écriture d'un roman...

Ci-dessous, l'entretien très connu avec le grand Georges et sans doute déjà publié maintes fois sur ce forum :

https://notrehistoire.ch/entries/QqNWjrkqWkr

Merci pour ce cadeau.
J'ai eu plaisir à entendre et voir cet écrivain qui cumulait deux qualités: Il fumait la pipe et il écrivait des romans et des polars formidables d'humanité.
Rassure-toi, je ne m'épuise pas à la tâche.
IL se trouve juste que je suis un couche tôt (vers 2 heures du matin en général). 
Pour le ménage, je n'y mets pas le nez. Pas envie d'avoir une scène....de ménage