« Jacques, prenez un taxi et allez à l’Ambassade.
Annoncez-vous au planton sous vos noms de Larbois et Devirier
Vous serez attendus.
On reprendra contact quand vous serez sur place. »
« Alors ?
- On prend un taxi et on va à l’Ambassade.
- Avec nos flingues ?                                                                     
- On sera attendu avec nos noms de mission.
- Et après ?
- Bernard reprendra contact avec nous. »
 
Au portail, le gendarme dans sa guérite les regarde s’approcher.
« Bonjour. Nous sommes attendus : Devirier et Larbois.
Il regarde avec insistance leurs sac de voyage
- Un instant je vous prie. »
Il prend sa radio et parlemente quelques secondes.
Sans un mot, il ouvre le portail et les fait entrer.
Il leur indique une petite salle avec des chaises.
« Si vous voulez bien attendre ici. On vient vous chercher. »
Ils s’asseoient.
Quelques minutes après :
« Sautry. Qu’est-ce que tu fais là ?
- La roue de secours. Comme à Bruxelles. Suivez-moi.

Ambassade de France à Vienne

"Au portail, le gendarme dans sa guérite les regarde s’approcher."

Brase d'Anjou a écrit:

Ambassade de France à Vienne

"Au portail, le gendarme dans sa guérite les regarde s’approcher."

IL y était vraiment où ilest venu pour ta photo?
En plus il a vraiment l'air de les regarder arriver.
Merci Brase pour toutes ces illustrations

Le planton était devant le portail, tranquille à prendre l'air.
Comme tu avais mis "dans la guérite", je lui ai parlé de tes aventures et il s'est gentiment déplacé.
Il ne te reste plus qu'à lui envoyer un autographe pour le remercier  

Brase d'Anjou a écrit:

Le planton était devant le portail, tranquille à prendre l'air.
Comme tu avais mis "dans la guérite", je lui ai parlé de tes aventures et il s'est gentiment déplacé.
Il ne te reste plus qu'à lui envoyer un autographe pour le remercier  

Quel brave homme!
Jelui enverrai un exemplaire de l'histoire quand elle sera terminée