Bon... j'aime bien écrire et la poésie en fait partie! Même si ces derniers temps je n'en écris plus trop, c'est normalement bien le cas. Donc je vous propose ici un "recueil" de ceux que j'écrirais, préférant tout regrouper. 

C'est pas grand chose de bien incroyable, mais bon, plutôt que de les garder pour moi et continuellement les ressasser, autant (essayer) de les partager... 

La Fin









Initialement, je l'ai écrit pour une nouvelle/roman fantastique, cependant je le récite aussi sous la forme: « Et que je serais enfin digne de siéger au côtés de Dieu, Puisse-t-il...« pour enlever le côté "fantastique" mais garder le côté "épique". Sans me l'approprier, ce qui a jeté les bases de ce texte, c'est le poème de William Ernest Henley, Invictus.

Je verrais bien ces lignes auprès de la statue du "Galate mourant" (ou Gaulois mourant).

Merci Lucas  

Merci à toi pour nous faire partager "ta poésie" 

Très belle prière pour l'avenir du monde
Pourquoi fait-elle revenir du fond de ma mémoire ''Je me bats ! Je me bats! Je me bats!

Mr Watson a écrit:

Alors que la mort m'attendra,

Et que mes ancêtres m'observeront,

Je ne céderai pas si aisément à cette fin.

   Elle nous attend tous. Mais nous sommes encore ici à nous interroger sur l'ailleurs comme Brassens ou Devos. J'aime bien la supplique pour être enterré sur la plage de Sète et le soupir post-morten. Un certain optimisme dans les deux que j'aurais tendance à partager...

Brase d'Anjou a écrit:

Je verrais bien ces lignes auprès de la statue du "Galate mourant" (ou Gaulois mourant).

Merci Lucas  

Oui, ce serait une bonne statue! Dans ma nouvelle (l'écriture n'est pas encore arrivée à ce point) le poème servira d'épitaphe à la tombée d'une princesse/guerrière.

Vol Terrien a écrit:

Mr Watson a écrit:

Alors que la mort m'attendra,

Et que mes ancêtres m'observeront,

Je ne céderai pas si aisément à cette fin.

   Elle nous attend tous. Mais nous sommes encore ici à nous interroger sur l'ailleurs comme Brassens ou Devos. J'aime bien la supplique pour être enterré sur la plage de Sète et le soupir post-morten. Un certain optimisme dans les deux que j'aurais tendance à partager...

Très juste! Et tout particulièrement Brassens je trouve!






Merci pour vos retours! 

Mr Watson a écrit:

Vol Terrien a écrit:

Mr Watson a écrit:

Alors que la mort m'attendra,

Et que mes ancêtres m'observeront,

Je ne céderai pas si aisément à cette fin.

   Elle nous attend tous. Mais nous sommes encore ici à nous interroger sur l'ailleurs comme Brassens ou Devos. J'aime bien la supplique pour être enterré sur la plage de Sète et le soupir post-morten. Un certain optimisme dans les deux que j'aurais tendance à partager...

Très juste! Et tout particulièrement Brassens je trouve!

  Oui, le ''sketch'' de Devos est plus un pied de nez à la mort qu'un certain optimisme face à elle. Outre la beauté de l'œuvre de Brassens, j'aime bien ce qu'il a écrit sur l'image d'accès à la vidéo:

      Je trouve que ce vœu pieux est très cohérent avec la fin de ton poème:
                                          ''Puis, lorsque la vie aura quitté mon corps informe,

Heureusement que la mort existe.

C'est le seul moyen dont dispose la nature pour permettre à la vie de s'adapter aux changement de conditions  environnementales:
Remplacer au fil les  individus existants par des nouveaux mieux adaptés.
C'est ainsi  que la vie est sortie de l'eau. et que les mammouths ont perdu leur lainage avec le début du réchauffement climatique naturel et permanent, lié au rapprochement inéluctable de la Terre vers le Soleil (salaud de Newton)l. La disparition d'individus, d'espèces où même de classes entières d'êtres vivants (animaux ou végétaux) n'est que la variable d'adaptation de la nature pour entretenir la vie. A cet effet elle génère de nouvelles formes et fait évoluer celles existantes pour mieux s'adapter au nouvel environnement.
Ce n'est pas parce que l'homme pense qu'il droit croire qu'il est pour, la vie, sa forme la plus importante.
Et le réchauffement anthropique n'est qu'un épiphénomène juste susceptible de conduire soit à la disparition de certaines formes de vies (dont la nôtre), soit à la réduction massive de l'espèce qui le provoque (en l'occurrence la nôtre)
Demain une météorite énorme, venue du fond de l'univers peut frapper la Terre et détruire 99,9% des formes de vies.
La vie repartira avec son petit 0,1 %. Sur la Terre ... où sur un morceau balancé dans l'Univers.
Et si la terre est absorbée par le soleil avant que la vie n'ait migré à l'abri de cet aboutissement alors, fini la vie. Du moins ce que nos appelons ainsi et dont la définition devient de plus en plus compliquée à mesure que nos connaissances augmentent.

Profitons malgré tout ce qui ne va pas pour chacun et pour tous.
Profitons de cette chose extraordinaire: VIVRE et savoir que nous existons!

Voilà ce qui arrive quand j'écris à l'écran et donc forcément sans ma pipe à la main.
Vite, ma pipe et mon tabac, que je redevienne raisonnable et content de vivre.