Je ne plaisante pas - D'ailleurs, je ne plaisante jamais . . . - Tous ceux qui étaient présents à l'intronisation du Passeur peuvent en témoigner. - J'apporterai bien une bombarde, avec une anche toute neuve venant de chez Guy CESBRON.

Libre à lui d'apporter son propre instrument mais à défaut, il peut remballer les excuses à deux balles du style : "j'ai oublié ma bombarde", "j'avais peur de la casser dans le transport", "j'arriverai jamais à tirer un son avec une anche pareille", "d'ailleurs, je ne joue qu'avec des anches neuves", "une anche, c'est comme une pipe, ça ne se prête pas"; Comme j'aurais trempé l’anche quinze minutes dans de l’eau à température ambiante avant de l'essuyer à l’aide d’un mouchoir en tissu et dela laisser sécher à l’air durant 24 heures minimum, il ne pourra pas dire "non, mais là, elle n'est pas prête, je ne peux pas m'en servir".

Heureusement que ma curiosité me pousse à remonter le fil jusqu'à son début car sinon je passais à côté de ces photos qui n'étaient pas là il y a quelques temps, et ça fait plaisir à voir vraiment: beau livre !

 

Des corps aux pieds ? ? ?  Really ? ? ? Encore eusses-tu parlé de cors, nous eussions pu te croire mais des corps ! ! !

Quoiqu'il en soit, étant donné l'état dans lequel tu décris tes pieds, chaussettes en soie et pompes de clown te seront bien utiles pour te redonner un peu de confort et te permettre d'emballer bandages et pansements . . .

Et puis, si c'est sur prescription médicale, personne ne t'en voudra d'être aussi singulièrement chaussé . . .

Donc, c'est entendu, tu entreras dans le salle capitulaire chaussé de pompes de clown et tu as une semaine pour nous montrer une photo de toi, reconnaissable avec les dites chaussures. A défaut, je me chargerais personnellement de l'achat d’icelles, dans une version des moins discrètes, et c'est les miennes que tu seras mis en demeure de porter.

Comme quoi, quand on y met un minimum de bonne volonté, on finit toujours par se mettre d'accord . . .

Crois moi, l'entrée du Passeur avec sa faux fut un grand moment et une paire de pompes c'est quand même plus discret qu'une faux ! ! !

(et puis, entre nous, toi, tu ne vas pas frapper à la porte et faire ton entrée en tenu de bagad en jouant de la bombarde, perso je pense que tu t'en sors plutôt bien par rapport à ton petit camarade plouviennois)! ! !

Je sens que de beaux moments de douce folie sont en gestation et que n'étant pas des vôtres, je vais louper ça, zut !

D'un autre côté, si j'avais été sur la liste des futurs intronisés, j'en connais un qui se serait fait une joie de ne pas me louper, donc de ce point de vue, j'échappe sans doute au pire !

Mais rien ne vous empêche, chers amis, de mettre à son tour au défi ce cher Bandit qui aime tant y mettre les autres !!

Genre: entrée magistrale dans la salle capitulaire eu tutu rose et ballerines sur fond musical soigneusement choisi à dessein , NON

* 133.636 - "On n'est pas là, pour se faire emmerder, on est là, pour rire et s'amuser" comme le dit la chanson, La Confrérie n'est pas une vieille d'âme gâteuse et sénile, c'est à nous, Confrères pipiers d'y verser du sang neuf et de la dépoussiérer un peu. La photo du Passeur et de sa faux a été reprise dans les journaux comme le sera, sans nul doute celle de Tabadoc en tenue de Bagad. Ces évènements sont de nature à redynamiser l'image de la Confrérie.

* 133.637 - Y'a pas de raison que tu y échappes, pas non plus de raison particulière pour que ça soit moi qui m'y colle à chaque fois. Pour notre ami plouviennois, étant donné sa proximité avec le bagad des abers que je connais pour les avoir rencontré à l'occasion de régates et mon attachement à la bombarde dont j'ai acquis deux exemplaires suite à la création de ma pipe éponyme, il était logique que je m'en charge : j'avais le mobile et l'arme du crime . . . En ce qui concerne Blue Eyes, c'est entièrement de sa faute, il aurait du tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant d'écrire . . .

* 133.638 - Je n'y vois pas d'inconvénient, bien entendu, à condition que ça reste en concomitance avec une situation évènementielle particulière comme dans les cas précédents . . .

* 133.639 - Bon, je ne propose quand même pas n'importe quoi à n'importe qui, ça doit rester étroitement en rapport avec les centres d'intérêt, la personnalité et l'évènement tout en restant réaliste : il n'y a qu'une extrêmement faible probabilité que la Confrérie accepte que mon vieux 12 rentre dans la salle capitulaire, même moteur arrêté. Par contre, il est éventuellement possible, si les circonstances le rende opportun, que j'entre en salle capitulaire casqué, botté, ganté avec le cuir sur le dos ou en tenue de cuistot et pipe au bec avec marmite en cuivre et cuillère en bois à la main . . .
* 133.639bis - Loin de moi l'idée de me défiler, ceux qui étaient là se souviendrons de la lecture de l'épitaphe de notre regretté Ami Philippe BARGIEL, moment de particulière émotion où j'ai eu, moi aussi à faire face seul à l'assemblée

J'y avais pensé cher ami, mais j'avais envie de pousser le bouchon un peu plus loin, en vieil ado que je suis encore parfois !