Et lorsque les 12 coups de minuit sonneront à Dublin, tu te rappelleras que tu es sur le contient nord-américain donc 6 h de St Patrick en + 

Pour moi, petites pintes de Guinness en terrasse en fin d'aprem, en sortant des cours ! Très agréable avec ce soleil  Fumer en terrasse m'a manqué cet hiver

Bonne Saint-Patrick à tous ceux qui la fêtent, en particulier à toi cher camarade El-Che !

little smoke a écrit:

Bonne Saint-Patrick à tous ceux qui la fêtent, en particulier à toi cher camarade El-Che !

Bonne fête, les amis ! Après une quinzaine de sets, notre Quiet man parisien, s'est mué en Furious man. Et il fait soif ! 

El Che a écrit:

Un beau compagnon, une bonne bouffarde, une bonne bière... Ça c'est la vie !
Profites en bien El Che !

El Che a écrit:

Magnifique cette photo EL CHE et Le CHE (chien) me rappelle de par son regard et sa position câline ma regrettée "Doxane" beauceronne qui a partagé ma vie durant 15 ans 1/2

El Che a écrit:

Misère ! La vie est trop dure pour toi camarade el Che ! Je compatis 
(moi aussi bien sûr j'ai étanché ma soif comme il se doit avec ce nectar…)

Comme chaque année je fête la Saint Patrick dans un irish pub de La Chaux-de-Fonds, c'est sympa mais un jour faudra que j'aille à Dublin la faire cette fête !

- 13 ° C, en effet, il faut un Irish coffee très fortement dosé en Paddy !

Dans un genre très différent, aujourd'hui je suis allé dans un pub londonnien dont je ne savais pas qu'il était le siège d'un groupe de vétérans de l'armée de sa royale majesté ayant combattu l'IRA à Belfast. J'ai été assez choqué de voir une reproduction de St Patrick sur la cible du jeu de fléchette et une corde à noeud coulant accrochée à la solive au dessus du bar pour pendre le premier "chien d'irlandais" qui se présenterait, dixit la pancarte.

Une des TV à écran plat au dessus du bar n'avait pas survécue au lancement d'une bouteille de bière lors du crunch d'hier qui donna la victoire du tournoi à la République d'Irlande.

Lorsque j'ai retiré ma parka en cuir de buffle, mon écharpe tricolore "Allez les bleus" a glissée dévoilant mon maillot bleu du XV français. Silence de mort dans la salle. Un abrûti de pilier de bar passablement éméché mesurant 1 m 60 et pesant 50 kilos tout mouillé a voulu jouer au dur en venant me traiter de "fucking froggy" devant mes gosses. 

Un quart de seconde plus tard, il partait à l'horizontale après l'impact d'un uppercut dans les gencives (108 kilos pour 1 m 90). J'ai fini ma pinte de Guinness, ramassé la dent ensanglantée à terre et lorsque j'ai voulu régler à la serveuse rousse qui tenait le bar, j'ai eu droit à un : "No Sir, It's free for you and your children !" avec un clin d'oeil arsouille et un accent de Galway outrageusement accentué.

Bizarrement ces lopettes de rosebeefs ont plongé la tête dans leur pinte, sans piper mot. Le flegme britannique !

Que d'émotions lors de ce séjour britannique, pas trop choqués les enfants ou ils ont l'habitude avec papa

Dis-donc tu donnes aussi ce genre de cours d'astronomie à ceux qui viennent en sorties nocturnes avec toi

Tu lui as mis des étoiles plein les yeux à ce type !

Dubhe a écrit:

- 13 ° C, en effet, il faut un Irish coffee très fortement dosé en Paddy !

Dans un genre très différent, aujourd'hui je suis allé dans un pub londonnien dont je ne savais pas qu'il était le siège d'un groupe de vétérans de l'armée de sa royale majesté ayant combattu l'IRA à Belfast. J'ai été assez choqué de voir une reproduction de St Patrick sur la cible du jeu de fléchette et une corde à noeud coulant accrochée à la solive au dessus du bar pour pendre le premier "chien d'irlandais" qui se présenterait, dixit la pancarte.

Une des TV à écran plat au dessus du bar n'avait pas survécue au lancement d'une bouteille de bière lors du crunch d'hier qui donna la victoire du tournoi à la République d'Irlande.

Lorsque j'ai retiré ma parka en cuir de buffle, mon écharpe tricolore "Allez les bleus" a glissée dévoilant mon maillot bleu du XV français. Silence de mort dans la salle. Un abrûti de pilier de bar passablement éméché mesurant 1 m 60 et pesant 50 kilos tout mouillé a voulu jouer au dur en venant me traiter de "fucking froggy" devant mes gosses. 

Un quart de seconde plus tard, il partait à l'horizontale après l'impact d'un uppercut dans les gencives (108 kilos pour 1 m 90). J'ai fini ma pinte de Guinness, ramassé la dent ensanglantée à terre et lorsque j'ai voulu régler à la serveuse rousse qui tenait le bar, j'ai eu droit à un : "No Sir, It's free for you and your children !" avec un clin d'oeil arsouille et un accent de Galway outrageusement accentué.

Bizarrement ces lopettes de rosebeefs ont plongé la tête dans leur pinte, sans piper mot. Le flegme britannique !

Je n'ai qu'une expression : Vive la France !

Je déteste ce genre de situation qui est diamétralement à l'opposé des valeurs que je veux transmettre à mes enfants. Mon petit bout de chou de 5 ans était évidemment en larmes et je l'ai retrouvé blotti dans les bras de sa soeur de 7 ans et demi. Enfin, on a bien discuté dans le métro de retour sur la gare de St Pancrass pour retrouver ma soeur qui les raccompagne en France. Il allait mieux.

Ma plus grosse peur était que la police soit appelée car finir au poste seul, je m'en moques. Avec mes enfants, non.

Quant à faire le coup de poing, même à 53 balais sonnés, je m'aperçois que mon passé d'ancien pilier de rugby et de commando parachutiste à l'armée, n'est pas trop émoussé.

Discuter, argumenter avec un pochetron... Pas facile ! Le direct du droit est plus direct comme négociation !

Je suis bien d'accord avec toi, la violence n'est certainement pas la solution et un très mauvais exemple d'éducation à donner. Maintenant, face à un con, bourré qui te menace d'un tesson de bouteille de bière qu'il vient de briser sur le zinc du bar. Tu ne discutes pas, tu anesthésies ...

Ce qui me fait toujours très peur dans ce genre de situation, c'est que sous l'effet du stress, mes vieux réflexes conditionnés de close-combat ressortent et que je touche un point vital. Une colonne vertébrale ou un crâne, c'est très solide. Mais c'est aussi très très fragile si tu sais où frapper.

Ou alors sortir du bar!

Et là ce n'est pas un con, mais dix cons que tu dois occires car les lâches attaquent toujours en bande.

Ça m'est arrivé une fois dans un bar à rugby sur St Germain des Près d'être pris dans une rixe avec des racailles de cité alors que nous étions tranquillement en train de diner avec deux amies. Trois crétins sont venus les importuner. Elles  les ont repoussées, une fois, deux fois, x fois ... Ils bloquaient la porte de sortie.

A la première main sur la poitrine et sur les fesses, mon poing est parti. Lorsqu'ils ont sorti les crans d'arrêt. Mon pouce est entré dans l'orbite du chef de la bande et son oeil est sorti, retenu uniquement par le nerf optique. 

Bizarrement, il n'y a pas eu de plainte.

Brrr !

C'est impressionnant, mais ce n'est pas léthal. Il y a des points au close combat qui t'envoient un homme ad patres en une demi-seconde. C'est pour cela que je déteste la violence et les armes de quelque nature que ce soit car je sais trop ce qu'il peut en advenir quand on sait s'en servir.

Tu as la chance de vivre dans un merveilleux pays, neutre et pacifique, mon cher Little Smoke, qui n'a plus fait de guerre depuis 1515, (bien que fortement militarisé). Mais, il y a des endroits très dangereux que ce soit dans le métro ou en surface à Paris, à Londres ou NYC ...

J'ai vécu 20 ans à Bruxelles et j'y ai vécu quelques désagréments...