Lightmyfire a écrit:

La petite Sylvie revient de l'école et s'empresse d'aller trouver sa maman :
-Maman, maman! Aujourd'hui Nicolas m'a montré son zizi !
-Comment ?!
-Oui, je te jure, même qu'on dirait un petit cornichon !

La mère, rassurée, le sourire aux lèvres, répond :
-Ah bon, aussi petit?
-Aussi petit, oui, mais surtout, aussi sur !

Le dois être enfumé mais je n'ai pas percuté ?

"Sur" dans le sens de "scie, aigrelet"

Je ne connaissais pas ce terme, je manque de vocabulaire.

Ah oui, alors c'est très drôle !!

Lightmyfire a écrit:

La petite Sylvie revient de l'école et s'empresse d'aller trouver sa maman :
-Maman, maman! Aujourd'hui Nicolas m'a montré son zizi !
-Comment ?!
-Oui, je te jure, même qu'on dirait un petit cornichon !

La mère, rassurée, le sourire aux lèvres, répond :
-Ah bon, aussi petit?
-Aussi petit, oui, mais surtout, aussi sur !

Arabelle a écrit:

Au cas où vous nous n'auriez pas compris :

Il est a toué ? Bien sûr qu'il est à moué !!!

Laifour a écrit:

Ça tombe sous le sens !

Un Marseillais se rend à son travail en mobylette... Sur le chemin, il voit un gars en train de prendre le temps allongé dans l'herbe à côté de son bouc...
- Oh, l'ami, désolé de t'interrompre en plein boulot. Pourrais-tu me dire l'heure qu'il est ?
Toujours allongé, le prélat soupèse deux ou trois fois les couilles de son bouc et annonce :
- Eh con, il est 1h10 !
Le deux roues, interloqué, vérifie sur sa montre, ne dit rien et s'en va en l'ayant remercié auparavant...
Le soir, le même mobyleux revient et retrouve le type dans la même position toujours accompagné de son bouc. Intrigué par la première expérience, il décide de la renouveler.
- Et oh, forcené, je vois que tu es toujours en plein boulot. Peux-tu me redonner l'heure ?
A nouveau, le gars soupèse deux ou trois fois les couilles de son bouc et répond :
- Il est 6h45, fatche de con !
Le type vérifie sur sa montre et l'heure est à nouveau exacte !
- Mais comment tu fais, bougre de moule affalée, pour donner l'heure exacte en secouant les couilles de ton herbivore ?
- Té couillon, je les secoue pas ! Je les soulève pour voir les aiguilles de la montre sur le clocher de l'église !

 Elle est bien bonne Harmoblues 

Sur le vieux port de Marseille, à l’heure de la sieste, une bande de joyeux prend le soleil, chapeau de paille vissé sur le crâne et masquant les yeux en ronflant à pleins poumons…
Un fada vise sa chère et tendre dans l'objectif de son appareil photo. A reculons, il essaie de faire rentrer la totalité de sa rombière jusqu’à tomber à la flotte. Il remet à hurler :
- Au secours, au secours, je sais pas nager !!!!
Sans moufter d’un poil, l’un des siestards lui répond :
- Eh, moi non plus té couillon ! C’est pas pour ça que je gueule comme un bœuf qu’on égorge !

Devinette :
Qu'est-ce qui se lève quand tu t'en sers, qui s'abaisse quand tu as fini de t'en servir et qui goutte après usage ?


Un parapluie, bande d'obsédés !

Un homme joue au flipper dans un café. Il ne parvient pas à faire un bon score.
Un pochetron au bar qui le regarde jouer lui dit :
- Et ben, avec trois boules, c'est pas terrible ! 
Le joueur de flipper lui répond : 
- Ton père avec deux, il n'a pas fait mieux !

C'est une petite vieille qui habite seule dans une vieille cabane avec son chat. Un jour, alors qu'elle fait du jardinage, elle voit une grenouille prise dans un piège a souris. Elle qui d'habitude déteste les animaux (à part son chat) la prend, la soigne et lui donne quelque chose à boire et à manger.
C'est alors que la grenouille se transforme en fée et lui offre de réaliser trois de ses souhaits. La petite vieille réfléchit et dit : 
- J'aimerais que ma cabane soit un château...
- Comme deuxième voeu, j'aimerais retrouver la jeunesse et la fraîcheur de mes vingt ans...
- Et pour finir, j'aimerais que mon chat se transforme en Prince charmant...
Sitôt dit, sitôt fait. C'est alors que le chat transformé en Prince prend la parole et lui dit :
- C'est maintenant que tu vas regretter de m'avoir fait castrer !

Alors qu'on demande à un agriculteur son emploi du temps, celui-ci répond :
-le matin je trais les vaches, l'après-midi j'suis aux champs et le soir, d'mandez à ma femme, je laboure.

Frère Cadfael a écrit:

Lightmyfire a écrit:

Alors qu'on demande à un agriculteur son emploi du temps, celui-ci répond :
-le matin je trais les vaches, l'après-midi j'suis aux champs et le soir, d'mandez à ma femme, je laboure.

Sa Pipe, bien sûr !!!!

Etait-il besoin de le préciser?

Lightmyfire a écrit:

Frère Cadfael a écrit:

Lightmyfire a écrit:

Alors qu'on demande à un agriculteur son emploi du temps, celui-ci répond :
-le matin je trais les vaches, l'après-midi j'suis aux champs et le soir, d'mandez à ma femme, je laboure.

Sa Pipe, bien sûr !!!!

Etait-il besoin de le préciser?

Il vaut mieux préciser car tu connais comme moi certains pervers qui sévissent ici en toute impunité... 

Harmoblues a écrit:

Lightmyfire a écrit:

Frère Cadfael a écrit:

Lightmyfire a écrit:

Alors qu'on demande à un agriculteur son emploi du temps, celui-ci répond :
-le matin je trais les vaches, l'après-midi j'suis aux champs et le soir, d'mandez à ma femme, je laboure.

Sa Pipe, bien sûr !!!!

Etait-il besoin de le préciser?

Il vaut mieux préciser car tu connais comme moi certains pervers qui sévissent ici en toute impunité... 

Tu as raison, il faut que je me méfie et me montre plus prudent, on n'est jamais à l'abri d'une confusion aux conséquences parfois incontrolâbles !

Harmoblues a écrit:

Lightmyfire a écrit:

Frère Cadfael a écrit:

Lightmyfire a écrit:

Alors qu'on demande à un agriculteur son emploi du temps, celui-ci répond :
-le matin je trais les vaches, l'après-midi j'suis aux champs et le soir, d'mandez à ma femme, je laboure.

Sa Pipe, bien sûr !!!!

Etait-il besoin de le préciser?

Il vaut mieux préciser car tu connais comme moi certains pervers qui sévissent ici en toute impunité... 

Tu fais bien de préciser, car tu vois ce que je veux dire, en ce qui me concerne par exemple...

C'est un brave curé qui parle. De son bel accent de Provence, avec bonhomie, il raconte gentiment sa journée.
"Voyez-vous, je suis un homme simple, avec des joies simples. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est sortir de bonne heure, aux petits matins de printemps, quand la nature s'éveille. Je marche dans les petits chemins que je connais bien, depuis le temps, pensez. Je cueille quelques simples, encore tout frais et brillants de rosée, et je respire leurs parfums. C'est ainsi qu'en me penchant pour prélever un brin de serpolet, voilà que j'aperçois, toute menue, une adorable petite grenouille qui s'abritait là. Elle était apeurée, la pauvrette. Si vous aviez vu ses yeux et les reflets mordorés que lui faisait le soleil levant ! Elle avait l'air si désemparée, elle semblait avoir si froid, que je l'ai saisie, délicatement, que je l'ai abritée dans la poche de ma soutane et que je l'ai ramenée chez moi. Arrivé, je vais la poser sur mon lit, qu'elle se réchauffe et reprenne ses esprits, voyez-vous. Et là, voyant ce petit animal si désemparé, et voulant la rassurer, la consoler, je lui ai fait un bisou sur son petit museau. Et c'est à ce moment, mesdames et messieurs les jurés, que la grenouille s'est transformée en petite fille..."

Lightmyfire a écrit:

Tu as raison, il faut que je me méfie et me montre plus prudent, on n'est jamais à l'abri d'une confusion aux conséquences parfois incontrolâbles !

Et oui ! Tu sais bien que Coluche racontait qu'il avait un ami qui prenait sa vessie pour une lanterne... Et alors ? Il se brule ! 

Laifour a écrit:

C'est un brave curé qui parle. De son bel accent de Provence, avec bonhomie, il raconte gentiment sa journée.
"Voyez-vous, je suis un homme simple, avec des joies simples. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est sortir de bonne heure, aux petits matins de printemps, quand la nature s'éveille. Je marche dans les petits chemins que je connais bien, depuis le temps, pensez. Je cueille quelques simples, encore tout frais et brillants de rosée, et je respire leurs parfums. C'est ainsi qu'en me penchant pour prélever un brin de serpolet, voilà que j'aperçois, toute menue, une adorable petite grenouille qui s'abritait là. Elle était apeurée, la pauvrette. Si vous aviez vu ses yeux et les reflets mordorés que lui faisait le soleil levant ! Elle avait l'air si désemparée, elle semblait avoir si froid, que je l'ai saisie, délicatement, que je l'ai abritée dans la poche de ma soutane et que je l'ai ramenée chez moi. Arrivé, je vais la poser sur mon lit, qu'elle se réchauffe et reprenne ses esprits, voyez-vous. Et là, voyant ce petit animal si désemparé, et voulant la rassurer, la consoler, je lui ai fait un bisou sur son petit museau. Et c'est à ce moment, mesdames et messieurs les jurés, que la grenouille s'est transformée en petite fille..."

Quelle horreur ! 

buenas noches compañeros!!!!!!