Trois gamins discutent dans la cour de récréation.
- Mon père, dit le premier, est tellement fort qu'il avale la fumée de sa cigarette par la bouche, et il la recrache par le nez !
- Ouah, c'est nul. Le mien, il l'avale par la bouche et il la recrache par les oreilles...
- Tu racontes des conneries, dit le troisième. Par contre, le mien, il l'avale par la bouche et il la recrache par le derrière !
- Les deux autres : N'importe quoi, c'est pas possible !! Le troisième sort un caleçon de son père de son cartable.- Et ça, c'est pas des traces de nicotine, peut-être ?

scarfelatti a écrit:

Trois gamins discutent dans la cour de récréation.
- Mon père, dit le premier, est tellement fort qu'il avale la fumée de sa cigarette par la bouche, et il la recrache par le nez !
- Ouah, c'est nul. Le mien, il l'avale par la bouche et il la recrache par les oreilles...
- Tu racontes des conneries, dit le troisième. Par contre, le mien, il l'avale par la bouche et il la recrache par le derrière !
- Les deux autres : N'importe quoi, c'est pas possible !! Le troisième sort un caleçon de son père de son cartable.- Et ça, c'est pas des traces de nicotine, peut-être ?

Ce sont deux bergers qui discutent.

- Moi j'comprends pas, j'arrive pas à faire faire des petits à mes brebis.
Et le deuxième lui dit :
- Ecoute, c'est simple, demain au lever du soleil, tu fais monter les brebis dans ta 4L, tu les emmènes aux champs, tu les alignes, tu baisses ton pantalon et tu leur en mets un petit coup à chacune, et le lendemain au réveil si elles sont à l'ombre c'est que ça a marché et si elles sont au soleil c'est qu'il faut recommencer.
Donc le lendemain, le fermier met les brebis dans la 4L, les emmène aux champs, les aligne et hop un petit coup chacune. Au réveil, il ouvre les volets et les brebis sont au soleil. Il retourne voir son pote et lui explique.
Alors son pote lui dit :
- Ne t'inquiète pas, il faut recommencer jusqu'à temps que ça marche.
Donc, le lendemain, il fait monter les brebis dans la 4L, les emmène aux champs et leur en met 2 petits coups chacune.
Le lendemain, au réveil, il dit à sa femme :
- Raymonde, ouvre les volets et dis-moi si les brebis sont à l'ombre ou au soleil.
Sa femme étonnée bougonne et ouvre les volets. Et soudain, elle s'écrie:
- Oh mon dieu!
Le berger :
- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
Sa femme lui répond :
Elles sont toutes dans la 4L et il y en a même une au volant qui klaxonne!

NeuveMaison a écrit:

Je n'aime pas du tout, ça fait quand même vraiment racisme très ordinaire.

Tout à fait d'accord avec toi NeuveMaison. Et je te trouve bien gentil de dire "ordinaire". Quant à se cacher derrière Coluche, c'est pourtant lui qui savait expliquer la différence entre 'grossier" et "vulgaire".
Mais bon, faut que tout le monde s'exprime, n'est-ce pas.

little smoke a écrit:

scarfelatti a écrit:

Trois gamins discutent dans la cour de récréation.
- Mon père, dit le premier, est tellement fort qu'il avale la fumée de sa cigarette par la bouche, et il la recrache par le nez !
- Ouah, c'est nul. Le mien, il l'avale par la bouche et il la recrache par les oreilles...
- Tu racontes des conneries, dit le troisième. Par contre, le mien, il l'avale par la bouche et il la recrache par le derrière !
- Les deux autres : N'importe quoi, c'est pas possible !! Le troisième sort un caleçon de son père de son cartable.- Et ça, c'est pas des traces de nicotine, peut-être ?

d'accord, mais néanmoins drôle

C'est une femme qui va sur ses 38 ans et qui, triste de ne pas avoir eu d'enfant, songe à l'insémination artificielle. Elle se renseigne et finit par prendre rendez-vous au centre le plus proche. Le médecin lui dit, après tests et analyses, que cela lui paraît tout à fait possible. Elle lui demande alors quels sont les tarifs. Le médecin lui apprend qu'il existe deux formules. Une classique et une autre, qui est une exclusivité de sa clinique, qu'il appelle la formule Leonardo di Caprio. Car toutes ses clientes qui ont choisi cette option, certes un peu plus chère, ont eu un fils ressemblant trait pour trait à Leonardo di Caprio. La femme trouve cela tellement tentant qu'elle choisit cette formule. L'insémination se passe bien, la grossesse aussi et l'accouchement de même. Effectivement, elle a un beau garçon et, fait extraordinaire, comme promis, il ressemble déjà à Leonardo di Caprio! Tout de même, car c'est vraiment très curieux, elle retourne voir le praticien et lui demande comment c'est possible d'obtenir à coup sûr un tel résultat. Alors le médecin lui explique qu'il a parmi ses donneurs de sperme, un monsieur dont la semence produit systématiquement des bébés qui ressemblent à Leonardo di Caprio... Elle lui demande s'il serait possible de le rencontrer. Aussitôt le médecin appelle quelqu'un au téléphone. Peu de temps après un homme arrive dans le bureau, qu'il lui présente comme étant le donneur en question. Lequel est un gros monsieur moustachu d'une cinquantaine d'années, qui s'appelle Robert, et travaille à la cantine de l'hôpital. Mais, dit la dame, vous ne ressemblez pas du tout à Leonardo di Caprio. Comment est-il possible que... Eh bien, répond Robert, j'ai deux filles. Elles admirent toutes les deux Leonardo di Caprio. Elles en sont complètement fanatiques. Elles ont ses posters, elles regardent tous ses films plusieurs fois, elles n ont que ça comme sujet de conversation. Leonardo di Caprio par ci, Leonardo di Caprio par là. Et ma femme, c'est pareil!!! Alors, moi, vous comprenez, Leonardo di Caprio, j'en ai plein les couilles!!!

Laifour a écrit:

C'est une femme qui va sur ses 38 ans et qui, triste de ne pas avoir eu d'enfant, songe à l'insémination artificielle. Elle se renseigne et finit par prendre rendez-vous au centre le plus proche. Le médecin lui dit, après tests et analyses, que cela lui paraît tout à fait possible. Elle lui demande alors quels sont les tarifs. Le médecin lui apprend qu'il existe deux formules. Une classique et une autre, qui est une exclusivité de sa clinique, qu'il appelle la formule Leonardo di Caprio. Car toutes ses clientes qui ont choisi cette option, certes un peu plus chère, ont eu un fils ressemblant trait pour trait à Leonardo di Caprio. La femme trouve cela tellement tentant qu'elle choisit cette formule. L'insémination se passe bien, la grossesse aussi et l'accouchement de même. Effectivement, elle a un beau garçon et, fait extraordinaire, comme promis, il ressemble déjà à Leonardo di Caprio! Tout de même, car c'est vraiment très curieux, elle retourne voir le praticien et lui demande comment c'est possible d'obtenir à coup sûr un tel résultat. Alors le médecin lui explique qu'il a parmi ses donneurs de sperme, un monsieur dont la semence produit systématiquement des bébés qui ressemblent à Leonardo di Caprio... Elle lui demande s'il serait possible de le rencontrer. Aussitôt le médecin appelle quelqu'un au téléphone. Peu de temps après un homme arrive dans le bureau, qu'il lui présente comme étant le donneur en question. Lequel est un gros monsieur moustachu d'une cinquantaine d'années, qui s'appelle Robert, et travaille à la cantine de l'hôpital. Mais, dit la dame, vous ne ressemblez pas du tout à Leonardo di Caprio. Comment est-il possible que... Eh bien, répond Robert, j'ai deux filles. Elles admirent toutes les deux Leonardo di Caprio. Elles en sont complètement fanatiques. Elles ont ses posters, elles regardent tous ses films plusieurs fois, elles n ont que ça comme sujet de conversation. Leonardo di Caprio par ci, Leonardo di Caprio par là. Et ma femme, c'est pareil!!! Alors, moi, vous comprenez, Leonardo di Caprio, j'en ai plein les couilles!!!

scarfelatti a écrit:

Ce sont deux bergers qui discutent.

- Moi j'comprends pas, j'arrive pas à faire faire des petits à mes brebis.
Et le deuxième lui dit :
- Ecoute, c'est simple, demain au lever du soleil, tu fais monter les brebis dans ta 4L, tu les emmènes aux champs, tu les alignes, tu baisses ton pantalon et tu leur en mets un petit coup à chacune, et le lendemain au réveil si elles sont à l'ombre c'est que ça a marché et si elles sont au soleil c'est qu'il faut recommencer.
Donc le lendemain, le fermier met les brebis dans la 4L, les emmène aux champs, les aligne et hop un petit coup chacune. Au réveil, il ouvre les volets et les brebis sont au soleil. Il retourne voir son pote et lui explique.
Alors son pote lui dit :
- Ne t'inquiète pas, il faut recommencer jusqu'à temps que ça marche.
Donc, le lendemain, il fait monter les brebis dans la 4L, les emmène aux champs et leur en met 2 petits coups chacune.
Le lendemain, au réveil, il dit à sa femme :
- Raymonde, ouvre les volets et dis-moi si les brebis sont à l'ombre ou au soleil.
Sa femme étonnée bougonne et ouvre les volets. Et soudain, elle s'écrie:
- Oh mon dieu!
Le berger :
- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
Sa femme lui répond :
Elles sont toutes dans la 4L et il y en a même une au volant qui klaxonne!

Laifour a écrit:

C'est une femme qui va sur ses 38 ans et qui, triste de ne pas avoir eu d'enfant, songe à l'insémination artificielle. Elle se renseigne et finit par prendre rendez-vous au centre le plus proche. Le médecin lui dit, après tests et analyses, que cela lui paraît tout à fait possible. Elle lui demande alors quels sont les tarifs. Le médecin lui apprend qu'il existe deux formules. Une classique et une autre, qui est une exclusivité de sa clinique, qu'il appelle la formule Leonardo di Caprio. Car toutes ses clientes qui ont choisi cette option, certes un peu plus chère, ont eu un fils ressemblant trait pour trait à Leonardo di Caprio. La femme trouve cela tellement tentant qu'elle choisit cette formule. L'insémination se passe bien, la grossesse aussi et l'accouchement de même. Effectivement, elle a un beau garçon et, fait extraordinaire, comme promis, il ressemble déjà à Leonardo di Caprio! Tout de même, car c'est vraiment très curieux, elle retourne voir le praticien et lui demande comment c'est possible d'obtenir à coup sûr un tel résultat. Alors le médecin lui explique qu'il a parmi ses donneurs de sperme, un monsieur dont la semence produit systématiquement des bébés qui ressemblent à Leonardo di Caprio... Elle lui demande s'il serait possible de le rencontrer. Aussitôt le médecin appelle quelqu'un au téléphone. Peu de temps après un homme arrive dans le bureau, qu'il lui présente comme étant le donneur en question. Lequel est un gros monsieur moustachu d'une cinquantaine d'années, qui s'appelle Robert, et travaille à la cantine de l'hôpital. Mais, dit la dame, vous ne ressemblez pas du tout à Leonardo di Caprio. Comment est-il possible que... Eh bien, répond Robert, j'ai deux filles. Elles admirent toutes les deux Leonardo di Caprio. Elles en sont complètement fanatiques. Elles ont ses posters, elles regardent tous ses films plusieurs fois, elles n ont que ça comme sujet de conversation. Leonardo di Caprio par ci, Leonardo di Caprio par là. Et ma femme, c'est pareil!!! Alors, moi, vous comprenez, Leonardo di Caprio, j'en ai plein les couilles!!!

Ça se passe aux États unis.
Le directeur d'un store arrive dans son magasin et observe un de ses vendeurs.
... "Il vous faut un bon matériel de pêche" dit-il à un client.
- Oui, merci.
- Il vous faut aussi des vêtements adaptés.
- Oui, s'il vous plaît.
- Et bien entendu, il vous faut des bottes.
- Oui...
- Bon, j'ai mieux que des bottes, ce sont des weaders qui vous protègent jusqu'à la poitrine.
- Très bien...
- Je peux vous vendre aussi toutes sortes d’appâts pour le poisson.
- Merci.
- Je pense qu'une barque optimiserait votre chance de ne pas rentrer bredouille.
- Oui, très bien, c'est tout ce qu'il me faut.
Le client règle ses achats et s'en va.
Le patron va voir son employé.
- Je n'étais pas très chaud pour vous employer, mais, là, je suis estomaqué. Le client vient pour acheter une canne à pêche et vous lui vendait tout l'attirail...
- Ah non, pas du tout. Il était venu acheter des tampons pour sa femme. Alors je lui ai dit : Bon week-end foutu pour week-end foutu, et si vous alliez à la pêche.

"... week-end foutu pour week-end foutu..."

Un prêtre vient de confesser les quelques fidèles de son village quand entre une bonne sœur, plutôt jeune et rougissante. Il se dit que ça ne doit pas être bien grave, mais ça l'étonne quand même beaucoup.
- Je vous écoute ma fille
- Alors voilà mon père. Je conduisais ma voiture un soir qu'il avait plu et la route était très glissante. Ça n'a pas manqué. J'ai dérapé et ma voiture est venue s'encastrer dans un gros platane. Impossible de repartir. Comme c'était le soir et qu'il continuait de pleuvoir, j'ai fait du stop. Un monsieur s'est arrêté, fort sympathique, et il m'a proposé de me reconduire. Mais voyant que je grelottais, il m'a offert de passer par chez lui et de boire quelque chose de chaud, puisqu'il habitait dans le coin.
- Et alors ? Je ne vois rien de mal à ça. Que du contraire...
- Pour bien me réchauffer, il m'a versé un petit verre d'alcool. Oh pas beaucoup. Il a bu avec moi. Puis nous en avons bu un autre, encore un autre, et un autre. Si bien qu'à la fin on était complètement soûls. Il fallait que je me repose et que je reprenne mes esprits. On est donc montés dans sa chambre et là il m'a dit qu'il valait mieux que je retire mes vêtements mouillés. Ce que j'ai fait, puis je me suis couchée. Il s'est couché aussi, à côté de moi. Et c'est là que...
- Oui ? Dit le prêtre (qui s'impatiente un peu)
- Alors, lui et moi, on a fait l'amour. Puis on a recommencé. Je crois bien qu'on l'a fait quatre fois. Puis on s'est endormis. Le lendemain matin, on a recommencé, encore et encore. Voilà, mon père, pourquoi je viens me confesser.
- Mais c'est très très grave ça ma fille ! Vous n'aurez pas assez de la journée pour faire pénitence. Car vous direz deux cents pater. Ça vous apprendra. Et puis en sortant, là, vous irez acheter deux citrons que vous presserez, et vous boirez le jus.
- Deux citrons ? Ça va me purifier ?
- Je ne pense pas, non. Mais au moins ça vous retirera ce petit sourire idiot.

NeuveMaison a écrit:

Ça se passe aux États unis.
Le directeur d'un store arrive dans son magasin et observe un de ses vendeurs.
... "Il vous faut un bon matériel de pêche" dit-il à un client.
- Oui, merci.
- Il vous faut aussi des vêtements adaptés.
- Oui, s'il vous plaît.
- Et bien entendu, il vous faut des bottes.
- Oui...
- Bon, j'ai mieux que des bottes, ce sont des weaders qui vous protègent jusqu'à la poitrine.
- Très bien...
- Je peux vous vendre aussi toutes sortes d’appâts pour le poisson.
- Merci.
- Je pense qu'une barque optimiserait votre chance de ne pas rentrer bredouille.
- Oui, très bien, c'est tout ce qu'il me faut.
Le client règle ses achats et s'en va.
Le patron va voir son employé.
- Je n'étais pas très chaud pour vous employer, mais, là, je suis estomaqué. Le client vient pour acheter une canne à pêche et vous lui vendait tout l'attirail...
- Ah non, pas du tout. Il était venu acheter des tampons pour sa femme. Alors je lui ai dit : Bon week-end foutu pour week-end foutu, et si vous alliez à la pêche.

Bientôt l'école qui recommence... bon courage à tous les professeurs!!

berny a écrit:

Bientôt l'école qui recommence... bon courage à tous les professeurs!!

Merci beaucoup. Mais, je suis en retraite depuis déjà quelques années. Et que c'est bon ! Bon allez, bon courage aux camarades qui vont reprendre le bâton de craie...

berny a écrit:

Bientôt l'école qui recommence... bon courage à tous les professeurs!!

courage aux profs !

Excellent, j'aime bien ces têtes à claques là, elles méritent bien leur nom  !