Hello Gentlemen,

Je ne sais pas pour vous, mais personnellement un relent d'(auto)satisfaction m'envahit quand surgit l'instant où un tabac rencontre (enfin) SA bouffarde par excellence, et réciproquement.....

En effet, d'un côté, certains tabacs semblent un peu "exigeant" à fumer tant au niveau préparation que combustion (grosso-modo, les flakes ... ) et de l'autre, certaines bouffardes, au potentiel (bien) caché, s'avère pénible à utiliser (forme, tirage, etc...) .....

En juillet dernier, j'estimais que le SG Balkan Flake, que je ne prends jamais le temps de préparer (pas de séchage préalable, ni de véritable émiettage), s'accommodait fort bien du foyer conique de ma Zulu (dublin ?) Jeantet légèrement customisée.


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Et en fin de matinée, aujourd'hui, la magie réapparue ...
L'envie d'utiliser mon Opéra no-name sablée me gagna ......
Problème : son foyer ovoïde s'avère plutôt inadapté à une excellente combustion, défaut connu de cette forme (rallumage inévitable, même avec de "bons" tabacs, combustion disparate, etc...). .....
Je tente alors le Davidoff Flake Medallions sans le faire sécher ni émietter vraiment ( principe fonctionnant jusqu'à présent avec une Courrieu).
Et là, parfait : la bouffarde respire, le blend se consume régulièrement, l'Opéra a trouvé SON tabac !!!   



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Quant à vous, chers résidents du manoir, possédez vous aussi de tels binômes indissociables ?

 

Des expériences que nous avons tous du subir. Pas évident, par ex. pour les formes Horn ou Fleur au foyer assez pofond de trouver le tabac bien adapté. Bon, on y arrive tout de même, heureusement

Un peu le même constat que celui de notre cher Little Smoke. Certaines pipes rencontrent leur tabac au premier allumage, d'autres demandent d'y revenir et quelques unes sont toujours en recherche...
Les foyers, suivant leur forme et leur taille, s'adaptent plus ou moins bien aux différentes coupes, aux flakes, aux cakes, etc.
Et il est vrai que, lorsqu'une bouffarde qui est particulièrement appréciée, rencontre le tabac de sa vie, c'est un pied extraordinaire, une volupté incomparable proche du nirvana !

Harmoblues a écrit:

Un peu le même constat que celui de notre cher Little Smoke. Certaines pipes rencontrent leur tabac au premier allumage, d'autres demandent d'y revenir et quelques unes sont toujours en recherche...
Les foyers, suivant leur forme et leur taille, s'adaptent plus ou moins bien aux différentes coupes, aux flakes, aux cakes, etc.
Et il est vrai que, lorsqu'une bouffarde qui est particulièrement appréciée, rencontre le tabac de sa vie, c'est un pied extraordinaire, une volupté incomparable proche du nirvana !

Oh que oui !!

Harmoblues a écrit:

Certaines pipes rencontrent leur tabac au premier allumage, d'autres demandent d'y revenir et quelques unes sont toujours en recherche...

Oui, tout à fait.
J'ai d'ailleurs trouvé un assemblage pipe/tabac harmonieux pas plus tard que vendredi dernier: j'ai tenté de fumer du Dunhill The Apéritif (anglais) dans une Chacom dans laquelle j'avais toujours fumé du brun et qui jusqu'ici s'en accommodait "bien" (mais sans plus). Eh bien maintenant je sais qu'elle est faite pour les anglais et elle y sera désormais dédiée, et peut être même exclusivement au The Apéritif.

Je ne peux que souscrire en tous points sur tout ce qui a été dit précédemment. On met parfois longtemps à trouver l'accord parfait entre tabac et bouffarde. Mais quand on y arrive du premier coup, c'est une grande satisfaction qui arrive pas si souvent que cela, et qui est d'autant plus appréciée en raison de sa rareté.