Popeye Magritte a écrit:

Chien Galeux a écrit:

Je peux t'assurer Popeye, que le culot se forme uniformément si tu fumes la pipe jusqu'au bout. C'est en tout cas le cas pour les miennes.
Concernant le glouglou, il est simplement dû à un mauvais perçage : aspérités, mauvais alésage, flux d'air inconstant ou trop étroit sont les maux qui expliquent 99% du glouglou.

Effectivement, depuis ton arrivée, je réfléchis beaucoup aux perçages et étant mécanicien auto je fais de plus en plus la relation avec les échappements de voitures que je suis amené à modifier selon les désirs des clients.
Une ligne plus directe fera plus de bruit, l’écoulement des gaz sera plus rapide mais avec moins de pression, la température sera plus froide et la condensation moindre. Lorsque j’y ajoute des chicanes pour en diminuer le volume sonore, donc un frein, la température augmente significativement sur toute la longeur de l’échappement, les gaz sont freinés et la pression augmente, la condensation peut devenir impressionnante

Il faut absolument ouvrir un fil pour discuter de ces techniques, diamètres et autres
CG pourrais tu ouvrir ce fil dans une section adaptée afin de poursuivre?

Si cela te convient, tu peux l'ouvrir. Je suis au travail pour le moment, mais on pourra en discuter avec plaisir.

Quand tu auras le temps alors
Merci

Citation :

Popeye Magritte a écrit:

Je suis plus pour la méthode des tiers même si moi même j’ai souvent fait l’impasse car trop frustrante.

Culotter à l'ancienne, c'est un peu comme monter un escalier derrière une jolie fille.
Ça aiguise le désir pour ce qui vient après.

william1941 a écrit:

Citation :

Popeye Magritte a écrit:

Je suis plus pour la méthode des tiers même si moi même j’ai souvent fait l’impasse car trop frustrante.

Culotter à l'ancienne, c'est un peu comme monter un escalier derrière une jolie fille.
Ça aiguise le désir pour ce qui vient après.

C'est pas faux 

william1941 a écrit:

Culotter à l'ancienne, c'est un peu comme monter un escalier derrière une jolie fille.
Ça aiguise le désir pour ce qui vient après.

Et c'est pas Clémenceau qui aurait dit le contraire  

Brase d'Anjou a écrit:

william1941 a écrit:

Culotter à l'ancienne, c'est un peu comme monter un escalier derrière une jolie fille.
Ça aiguise le désir pour ce qui vient après.

Et c'est pas Clémenceau qui aurait dit le contraire  

 Ni Depardieu

Bande de faux-jetons!!!

Ça fait longtemps que je ne suis pas venu ici et je vois qu'il y a des discussions intéressantes.
J'avoue ne pas trop me prendre la tête et je remplis la pipe raz la gueule direct. J'évite les pipes preculottées parce que j'aime le goût des premiers fumages et cette quête de la bonne association. Tiens d'ailleurs, j'ai une petit astuce qui marche pas mal.
Mettre un tabac où beaucoup de variétés de feuilles sont présentes, comme le HH acadian perique ou encore certains HU comme le Manyara. Et là on voit quelle variété prend le dessus. Si c'est les notes torréfiées, grillés qui sont mis en avant, la pipe sera dédiée aux burley ou Kentucky, si ce sont les notes fruitées alors ce sera va - vaper et enfin si c'est le fumé du lat avec une bonne salinité ce sera une pipe dédiée aux mélanges latakiés.
Ça marche plutôt bien.

Et si ça marche pas, hop : pipe à le vente ou à la poubelle.
Il faudrait que je te pique ta technique MAIS avec les pipes déjà fumées pour en vérifier la théorie d'une autre manière.

Mdr non pas spécialement. Si ça marche pas, un gros Kentucky qui arrache tout. Si même avec ça, ça ne marche pas, là effectivement c'est que ce ne sera jamais une super pipe.

Lefty a écrit:

Personnellement je ne fais pas trop attention au culottage de mes pipes à tort ou à raison je ne sais pas ! L'avenir me le diras en temps voulu !  

Je fais attention à la température du bol lors du fumage mais sinon je ne met rien dans mes bols au préalable.

La méthode de William me parais être LA bonne manière pour ceux qui sont plus inquiets ou pointus que moi ! 

Prend garde, j'ai été un peu trop naïf dans mes premières années, et après avoir brûlé une pipe neuve au premier fumage, j'ai pris le temps d'inspecter toutes mes pipes. J'ai constaté que deux autres pipes avaient également brûlé mais sans que je m'en rende compte. Pas mes premières pour lesquelles j'étais très prudent, mais les deux suivantes quand j'avais pris mes aises et baissé ma vigilance! A ce stade elles avaient plusieurs dizaines de fumage à leur actif, et je ne m'en étais jamais rendu compte. 

Après avoir bien gratté toute la bruyère brulée, j'ai procédé à un culottage fastidieux avec la méthode suivante pour les sauver.
J'ai appliqué une fine couche de miel sur laquelle j'ai posé bien à plat de beaux brins de tabacs, un à un, jusqu'à paver le fond de la pipe. Cette méthode m'a permis d'accélérer la formation d'un bon culot sur les zones attaquées, mais j'aurais préféré éviter d'avoir recourt à ce genre de bricolage. 

Au moins ma leçon est bien apprise désormais.

Mon grand-père disait de prendre le temps de respecte pas ce que l'on fait sans lui.
Je crois que c'est vrai aussi pour culottage de nos pipe. 
Je dis ça- je dis rien.

J'en prends bonne note ! Merci de t'inquiéter pour moi.

Je reste tout de meme vigilant au culot de mes bouffardes