Derniers sujets
» Courrieu à Cogolinpar soababa Aujourd'hui à 7:27
» C'est l'anniversaire de Stéphane !
par la hyène Aujourd'hui à 2:05
» Rencontres Pipe-Club de Morez
par la hyène Aujourd'hui à 2:02
» Pour ne pas se geler la m'Eustache, ceux qui s'en vingt à Morez ont prévu les bonnets et les gillez
par Alexmann Hier à 22:27
» Peterson christmas édition 2024
par Lefty Hier à 14:34
» Je dis neuf Septentrion vers Morez, j'ai du m'égarer mais où est donc le Sud et l'ALNB ?
par Van Gaughin Hier à 13:26
» Achats récents de pipes
par Brase d'Anjou Jeu 19 Sep 2024 - 23:53
» tabac et formes de pipe
par stéphane Jeu 19 Sep 2024 - 23:18
» Flying Dutschman
par soababa Jeu 19 Sep 2024 - 22:03
» Pipes BARLING
par bamcar Jeu 19 Sep 2024 - 19:25
» Regain d'été à la St Nadège, laisse tomber la neige
par Ildefonso Jeu 19 Sep 2024 - 11:43
» Marc dit c'est sept Ambre, non c'est Alexandre !
par Alexmann Mer 18 Sep 2024 - 0:35
» Lionel un nouveau pas tout jeune
par natalefr Mar 17 Sep 2024 - 18:57
» Lundi, zézette en bruyère pour une pipe légère...
par Ildefonso Mar 17 Sep 2024 - 11:44
» Schneiderwind original vintage blend CC1
par Brase d'Anjou Mar 17 Sep 2024 - 0:08
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 324 utilisateurs en ligne :: 1 Enregistré, 0 Invisible et 323 Invités Roni
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 586 le Sam 21 Sep 2024 - 10:41
Statistiques
Nous avons 2110 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est Thanatos930
Nos membres ont posté un total de 448004 messages dans 16749 sujets
La collec' de Monsieur de Mesmaeker
+27
Lefty
natalefr
Jean-Claude
Erreip
Kilt&Pipe
Sherlock
Kubark
Cirgae
Daymonts
Bdt1200n
Znarf
Ernie
Munch
Fantasio59
stéphane
Popeye Magritte
BobyLaGanache
Jaufré Cantolys
Van Gaughin
LachambreN
Sesomiris
william1941
Robert Lavaux
Brase d'Anjou
Pipeman
la hyène
Monsieur De Mesmaeker
31 participants
A la Noble Bouffarde :: :: Les pipes et accessoires :: Nos pipes et accessoires :: La vitrine de nos pipes :: Les collections personnelles
Page 3 sur 9
Page 3 sur 9 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Je vais essayer de retrouver où j'avais lu cela, c'était un sujet sur les ravages du porno sur le cerveau avec le circuit de la récompense. En prenant l'exemple d'un paysan dans une campagne isolée au 19eme avec une espérance de vie de 38 ans en moyenne je crois. C'était récent et en Français
Oui oui cela n'a rien à voir avec le sujet mais j'ai fais le raccourci avec les pipes en photos...sorry
Oui oui cela n'a rien à voir avec le sujet mais j'ai fais le raccourci avec les pipes en photos...sorry
Invité- Invité
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Aventurier_de_Canapé a écrit:Je vais essayer de retrouver où j'avais lu cela, c'était un sujet sur les ravages du porno sur le cerveau avec le circuit de la récompense. En prenant l'exemple d'un paysan dans une campagne isolée au 19eme avec une espérance de vie de 38 ans en moyenne je crois. C'était récent et en Français
Oui oui cela n'a rien à voir avec le sujet mais j'ai fais le raccourci avec les pipes en photos...sorry
On suit, on suit ....
stéphane- Notable
- Messages : 4797
Date d'inscription : 12/02/2022
Age : 61
Localisation : Marseille
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
38-16=22Aventurier_de_Canapé a écrit: En prenant l'exemple d'un paysan dans une campagne isolée au 19eme avec une espérance de vie de 38 ans en moyenne je crois.
22/5=4,4
C'est aujourd'hui la durée moyenne d'un couple,4,2 exactement.
Invité- Invité
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Je ne comprends pas très bien: Qu'est-ce que vous appelez "voir une femme nue"? Une réelle ou une virtuelle?.
parce que, pour mettre les mains (je vous épargne le reste) à mon avis ce n'est pas la même chose. Et donc, on peut difficilement comparer. Non?
parce que, pour mettre les mains (je vous épargne le reste) à mon avis ce n'est pas la même chose. Et donc, on peut difficilement comparer. Non?
william1941- Poète, barde, troubadour...
- Messages : 6310
Date d'inscription : 03/04/2020
Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
william1941 a écrit:Je ne comprends pas très bien: Qu'est-ce que vous appelez "voir une femme nue"? Une réelle ou une virtuelle?.
parce que, pour mettre les mains (je vous épargne le reste) à mon avis ce n'est pas la même chose. Et donc, on peut difficilement comparer. Non?
Et même, qu'est-ce qu'une femme?
La sienne, celle de quelqu'un ? Faut-il quelle soit mariée pour être appelée femme ? L'âge entre-t-il en compte?
Qu'est-ce que la nudité ? Partielle, totale? Si totale, alors faut-il la voir sous tous les angles ? Si non, comment être sûr qu'elle soit totale? Dans le noir, est-ce que ça compte ?
Etc.
____________________________________________________________________________________________________________________________
Mais ce n'est que mon petit avis, et encore, j'suis bourré.
Munch- Clan des anglais
- Messages : 2885
Date d'inscription : 11/02/2014
Localisation : Toulouse
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Le etc... est le nœud du problème donc.Munch a écrit:william1941 a écrit:Je ne comprends pas très bien: Qu'est-ce que vous appelez "voir une femme nue"? Une réelle ou une virtuelle?.
parce que, pour mettre les mains (je vous épargne le reste) à mon avis ce n'est pas la même chose. Et donc, on peut difficilement comparer. Non?
Et même, qu'est-ce qu'une femme?
La sienne, celle de quelqu'un ? Faut-il quelle soit mariée pour être appelée femme ? L'âge entre-t-il en compte?
Qu'est-ce que la nudité ? Partielle, totale? Si totale, alors faut-il la voir sous tous les angles ? Si non, comment être sûr qu'elle soit totale? Dans le noir, est-ce que ça compte ?
Etc.
william1941- Poète, barde, troubadour...
- Messages : 6310
Date d'inscription : 03/04/2020
Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Ah ben là je sais :william1941 a écrit:Le etc... est le nœud du problème donc.
Quand il y a un noeud c'est pas une femme
____________________________________________________________________________________________________________________________
“Dans ma pipe je brûlerai mes souvenirs d'enfance, Mes rêves inachevés, mes restes d'espérance.” J. Brel.
"La susceptibilité n'est pas signe d'intelligence" A. Taillard
Ernie- Notable
- Messages : 2756
Date d'inscription : 11/01/2021
Age : 52
Localisation : Nantes
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4267
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
La bruyère noircie c'est très impressionnant, plutôt originale en effet!
____________________________________________________________________________________________________________________________
Mais ce n'est que mon petit avis, et encore, j'suis bourré.
Munch- Clan des anglais
- Messages : 2885
Date d'inscription : 11/02/2014
Localisation : Toulouse
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Munch a écrit:La bruyère noircie c'est très impressionnant, plutôt originale en effet!
Oui, cette pipe est très inhabituelle. J'ai beaucoup de mal à me faire une opinion sur son age et sur le lieux de sa fabrication...
Si quelqu'un a une idée, ça m'intéresserait.
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4267
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Pas d'idée, non. On a une sculpture qui rappelle plutôt les pipes en écume anciennes, tout comme le foyer incliné vers l'avant, mais si je ne me trompe pas, les pipes en écume avec des personnages, ça date d'avant les pipes en bruyère.
T'es sûr de la matière ? de la bruyère noircie ?
et le tuyau ? Ebonite d'origine ?
T'es sûr de la matière ? de la bruyère noircie ?
et le tuyau ? Ebonite d'origine ?
Znarf- Habitant récent
- Messages : 307
Date d'inscription : 02/08/2021
Localisation : Bretagne
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
T'es sûr de la matière ? de la bruyère noircie ?
et le tuyau ? Ebonite d'origine ?
Peut être une pipe en bois fruitier noircie, Art populaire ?
L'as tu déjà fumé Sébastien ?
stéphane- Notable
- Messages : 4797
Date d'inscription : 12/02/2022
Age : 61
Localisation : Marseille
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Znarf a écrit:Pas d'idée, non. On a une sculpture qui rappelle plutôt les pipes en écume anciennes, tout comme le foyer incliné vers l'avant, mais si je ne me trompe pas, les pipes en écume avec des personnages, ça date d'avant les pipes en bruyère.
Oui, ce style est résolument classique, c'est pour ça que je m'interroge.
Znarf a écrit:T'es sûr de la matière ? de la bruyère noircie ?
et le tuyau ? Ebonite d'origine ?
Non, je ne suis pas sur de mon coup, mais il me semble bien deviner sous la teinte sombre les arabesques familières de la bruyère. Le tuyau est en ébonite.
stéphane a écrit:Peut être une pipe en bois fruitier noircie, Art populaire ?
L'as tu déjà fumé Sébastien ?
Art populaire, elle est trop finement réalisée pour être de l'art populaire, à mon humble avis. Non, je ne l'ai pas encore fumée, pour le moment c'est mon petit sapajou en terre qui est de service.
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4267
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Pour les matières, le fourneau est en loupe de thuya et l'allonge en bois de cerf avec une pièce d'insertion en corne, le tuyau est en corne, couvercle et virole sont en métal argenté.
On en trouve déjà à l'époque napoléonienne . . .
Bdt1200n- Hôte fondateur - Confrère Pipier
- Messages : 935
Date d'inscription : 21/01/2013
Age : 65
Localisation : je viens de chez moi et d'ailleurs je ne vais pas tarder à y retourner
Bdt1200n- Hôte fondateur - Confrère Pipier
- Messages : 935
Date d'inscription : 21/01/2013
Age : 65
Localisation : je viens de chez moi et d'ailleurs je ne vais pas tarder à y retourner
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
La finesse de la sculpture et sa conservation dans le temps laisse à penser à un matériau dur et au grain très fin, tu peux sans risque réaliser un léger ponçage parfaitement perpendiculaire à l'extrémité de la tige ce qui mettra à nu le matériau de manière complètement invisible et devrait te permettre de l'identifier . . .
Bdt1200n- Hôte fondateur - Confrère Pipier
- Messages : 935
Date d'inscription : 21/01/2013
Age : 65
Localisation : je viens de chez moi et d'ailleurs je ne vais pas tarder à y retourner
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Très belle pièce Monsieur de Mesmaeker et Bdt vous réveillez ma collectionite mais une question pourquoi la loupe de thuya ressemble autant à de la bruyère ? Et en fait c est quoi la loupe de thuya ? A part pour voir de plus près
Pipeman- Notable
- Messages : 3074
Date d'inscription : 05/02/2020
Age : 33
Localisation : Noisy le grand
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Pipeman a écrit:mais une question pourquoi la loupe de thuya ressemble autant à de la bruyère ?
Parce que dans les deux cas, c'est la loupe qui est utilisée. Il s'agit de la partie située à la base du tronc, qui présente ces structures noueuses qui donnent ce beau résultat.
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4267
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Oui, il ne faut pas confondre avec la loupe de l'opticien qu'il décrasse en frottant curieusement.
Invité- Invité
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Merci et à part ce modèle d autres pipes fabriqué dans ce type de bois ?Monsieur De Mesmaeker a écrit:Pipeman a écrit:mais une question pourquoi la loupe de thuya ressemble autant à de la bruyère ?
Parce que dans les deux cas, c'est la loupe qui est utilisée. Il s'agit de la partie située à la base du tronc, qui présente ces structures noueuses qui donnent ce beau résultat.
Pipeman- Notable
- Messages : 3074
Date d'inscription : 05/02/2020
Age : 33
Localisation : Noisy le grand
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Pipeman a écrit:Merci et à part ce modèle d autres pipes fabriqué dans ce type de bois ?
C'est un bois parfois utilisé mais moins que la bruyère, pour autant que je sache, mais d'autres plus savants que moi sauront t'en dire davantage.
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4267
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Yep ben écoute j ai regardé un peu à part des portes pipes, stylos, couteaux et des boîtes rien trouvé
Pipeman- Notable
- Messages : 3074
Date d'inscription : 05/02/2020
Age : 33
Localisation : Noisy le grand
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
Bdt1200n a écrit:Pour ma part, je dispose juste d'une tête en loupe de thuya avec son marquage ML - ULM . . .
Très jolie pièce.
J'imagine qu'il doit être possible de l'identifier, mais je ne m'y connais guère. La seule source que je peux déballer à ce sujet est cet article (en allemand) de la pipedia :
https://pipedia.org/wiki/Ulmer_Maserholzpfeifen_von_Rainer_Immensack
et sa traduction (automatique, semble-t-il, vu le résultat) en anglais : https://pipedia.org/wiki/Ulmer_Maserholzpfeifen_by_Rainer_Immensack
Bdt1200n a écrit:La finesse de la sculpture et sa conservation dans le temps laisse à penser à un matériau dur et au grain très fin, tu peux sans risque réaliser un léger ponçage parfaitement perpendiculaire à l'extrémité de la tige ce qui mettra à nu le matériau de manière complètement invisible et devrait te permettre de l'identifier . . .
Oui, c'est une bonne idée, ça. Je vais faire ça et je vous dirai ce qu'il en est.
Vol Terrien a écrit:Oui, il ne faut pas confondre avec la loupe de l'opticien qu'il décrasse en frottant curieusement.
C'est parce que ses vitrines est inlavables.
____________________________________________________________________________________________________________________________
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
"Petit fumeur mais grand collectionneur. Nostalgique inconsolable de l'ancien Balkan Sobrani Smoking Mixture des années 70"
Monsieur De Mesmaeker- La bande des joyeux loufoques
- Messages : 4267
Date d'inscription : 08/05/2019
Localisation : Touraine
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
A cause de l'odeur? Un peu comme celle de marron quand on s'approche du quai?Monsieur De Mesmaeker a écrit: C'est parce que ses vitrines est inlavables.
Invité- Invité
Re: La collec' de Monsieur de Mesmaeker
pipes en loupe d'Ulm
Rainer Immensack de Manoli Collection Rainer Immensack http://www.manoli-berlin.de
Les débuts de la production de pipes à Ulm
La situation au XIXe siècle
Haas, Heinrich, Engelgasse 1,
Art, frères, Herrenkellergasse 1,
Letsch, Jakob, Sterngasse 13,
Lohmüller, Ed., Hirschstr. 24,
Oettinger, frères, Sattlergasse 16,
Silberhorn J., successeur : A. Blumhardt, Hafengasse 12,
Staudenmayer, Gustav, Herdbruckerstr. 5.[14]
Le bois pour les pipes d'Ulm
Les formes des pipes
L'orfèvrerie
Les pipiers
La distribution
Collectionner les pipes en loupe d'Ulm
Sources non imprimées
Becker, Friedrich : Arbre généalogique de la famille de pipiers Söflinger Nuding. Manuscrit inédit de février 1966 dans l'inventaire des archives de la ville d'Ulm, signe 320/60. Archives de la ville d'Ulm, Sign. 774/13 n° 8.
Buck, Anton : chronique locale Waldstetten. Série D/Tome III. Waldstetten 1978.
Document non publié
Littérature
Carnet d'adresses de la ville d'Ulm 1894. Ulm 1894.
Carnet d'adresses de la ville d'Ulm 1896. Ulm 1896
Carnet d'adresses de la ville d'Ulm 1902. Ulm 1902.
Anonyme : La fabrication de pipes à fumer à partir de grain de bois, d'écume de mer, d'argile et de terre turque et de briquets chimiques. En plus des cours de ferrage, de shopping, de fumage, de traitement des boules de pipe. Ulm 1830.
Anonyme : Les têtes de loupe de pipe d'Ulm. Dans : Ulmer Zeitung du 19 décembre 1933.
Anonyme : A propos de la collecte du bois pour les douilles de pipe d'Ulm. In : Indicateur hebdomadaire * de l'artisanat d'art du Royaume de Bavière. Munich 1816, page 327.
Anonyme : Sur les traces d'un tas. Dans : Neu-Ulmer Zeitung du 31 août 1987.
Aschenbrenner, Helmut : Pipes d'Ulmer. In : Pipe et briquet millésime 1965, H. 12, p.9 ff.
Becker, Friedrich: Brume bleue des pipes d'Ulmer - Des fumeurs de tabac et des fabricants de pipes. Dans : Forum d'Ulm. H.66/1983, p.35
Dieterich, Michael : Description de la ville d'Ulm. Ulm 1825.
Güthlein, Hans : La collection de pipes à tabac du musée local de Feuchtwanger. Dans : Sécurité intérieure bavaroise. 22e année/1926. II. Semestre, p. 98
Häberle, Adolf : Les célèbres douilles de pipe en bois de loupe d'Ulm dans leur importance culturelle et économique. Amberg 1950.
Levardy, Ferenc : Nos ancêtres fumeurs de pipe. Velbourg 1994.
Mangeoire, Anton : Les fameux sifflets en loupe d'Ulm. Wolbach 1998.
Merkle, Wolfgang : Affaires et commerce dans la ville d'Ulm. Hohenheim 1988.
Morgenroth, Walter : Tout sur la vente aux enchères de tabac Collection Haegeli, Metz Auction House, Heidelberg, Karlsruhe : Götz 2000.
Osiander, W. : Ulm et sa cathédrale et ses environs. Guide touristique à travers Ulm et ses environs avec tous les sites touristiques. Ulm 1900.
Ramazzotti, Eppe/Mamy, Bernhard : Pipes et fumeurs de pipe. Genève 1982.
Schaller, Peter: Sur l'histoire économique d'Ulm. Le développement de l'Ulmer
Sarrazin, Jenny/Petershagen, Henning : Schopper, skipper, pêcheur du Danube. Livre d'accompagnement de l'exposition spéciale au Musée d'Ulm. Ulm 1997.
Specker, Hans-Eugen: Histoire de la ville d'Ulm. Ulm 1977.
1. Haberle : Ulmer ; Entraîneur : Ulmer
2. Osiandre : Ulm, p. 8.
3. Häberle : Ulmer, page 21. « Blech » signifie argent et tombac, un type de laiton avec une teneur en cuivre de 70 à 90 %.
4. Haberle : Ulmer, p. 21.
5. Merkle : Gewerbe, page 174.
6. Merkle pages 176/177
7. Specker : Ulm, page 169.
8. Sarrazin/Petershagen : Schopper, p. 58.
9. Ibid., p. 41.
10. Häberle : Ulmer, page 16. Chaque navire mesurait environ 20 m de long et 4 m de large. 11. Début du 19ème siècle. 50 000 quintaux descendaient le Danube chaque année.
12. Sarrazin/Petershagen : Schopper, page 25, mentionnent également un "plat grinder" qui rachète le navire.
13. Ibid., p. 15.
14. Haberle : Ulmer, p. 24 ; Becker : Dunst, page 56.
15. carnet d'adresses 1894; 1896 et 1902.
16. Carnet d'adresses de la ville d'Ulm de 1896, page 102, Stadtarchiv Ulm
17. Jeunesse numéro 43 du 24 octobre 1903, page X
18. Becker : Dunst, page 56.
19. Aimablement communiqué par Anton Manger, Wollbach.
20. Aujourd'hui, la production moderne de tuyaux repose sur le bois de bruyère d'Erica Arborea.
21. Anonyme : Fabrikation, p.6
22. Anonyme : collecter
23. Schwabenspiegel n° 22, 1928 page 173
24. Anonyme : Fabrikation, page 7 ; anonyme : têtes de loupe de pipe.
25. Anonyme : Fabrication, p. 106.
26. Voir Buck : Ortschronik, page 713
27. Aschenbrenner : Ulmer, p. 9.
28. Aschenbrenner, p.22
29. Voir Häberle : Ulmer, pages 24 et 35 ; en détail Levardy : Pipe, p. 143.
30. La feuille d'échantillons est imprimée dans Häberle page 35
31. Anonyme : traces.
32. Un original de ce casque se trouve au musée d'histoire de l'armée à Ingolstadt.
33. Le dernier exemple est montré dans Ramazzotti/Mamy : Pfeifen, p. 6.
34. Responsable : Ulmer, p. 56
35. Haberle : Ulmer, p.25 et suiv.
36. Haberle p.22
37. Morgenroth, page 335 ; Haberle, p.25
38. Merkle : Gewerbe, page 176.
39. Haberle : Ulmer, p.25 et suiv.
40. Dieterich : Description, page 153.
41. Becker : arbre généalogique.
42. Une association muséale fondée en 1995 se consacre à ce métier oublié, bien qu'avec beaucoup de difficulté, car très peu de témoignages nous sont parvenus. Voir aussi Manger : Ulmer, p. 96.
43. Morgenroth, p.327
44. Conseil amical d'Anton Manger, Wollbach, qui en a fait l'expérience lui-même dans son enfance avant la Seconde Guerre mondiale.
45. Merkle : Gewerbe, page 177.
46. Becker : Dunst, page 55.
47. Responsable : Ulmer, p. 105
48. Guthlein : Collection. Certaines de ces pipes sont disponibles au musée d'histoire locale de Feuchtwangen.
49. Personnellement, l'auteur est également sceptique car la forme d'un coq d'Ulm est en fait flatteuse au toucher, là où les décorations en argent ont tendance à être gênantes. Ils sont plus pour l'optique que confortables en main.
50. Gentiment conseillé par Anton Manger, Wollbach.
51. Anonyme : La Fabrication, pp.11-54
Rainer Immensack de Manoli Collection Rainer Immensack http://www.manoli-berlin.de
Chaque collectionneur sera particulièrement intéressé par les pipes en loupe d'Ulm lorsqu'il en aura un entre les mains. Ces pipes à racine ont leur propre caractère, ne serait-ce qu'en raison du bois structuré sans cesse. Les pores varient en taille et le bois est lourd, semblable au hêtre ou au chêne. La parure de ces bols de pipe sont les ornements en argent. Il existe très peu de littérature sur la pipe d'Ulm, si importante et si appréciée des collectionneurs. En règle générale, ce type de pipes n'est que marginalement abordé dans de nombreux livres. Cependant, il existe deux monographies qui traitent exclusivement de ce sujet : l'un des principaux ouvrages est le livre d'Adolf Häberle de 1950, la pipe n'étant qu'un des nombreux autres sujets sur le tabac. Le deuxième ouvrage est le livre magnifiquement illustré d'Anton Manger, dans lequel il a illustré une grande partie de sa collection exceptionnelle.[1]
Les débuts de la production de pipes à Ulm
Lorsque nous parlons d'Ulm, nous ne parlons pas seulement de la zone urbaine d'Ulm d'aujourd'hui. La désignation fait référence à l'ancien état très vaste d'Ulm, qui s'étendait de Göppingen à Günzburg et des hauteurs de Heidenheim/Brenz jusqu'en dessous de Neu-Ulm et dans une direction ouest-est et nord-sud chacun s'étendait sur environ 30 km. L'état d'Ulm est né entre 1377 et 1399; jusqu'en 1571, la ville acquit des terres encore plus vastes, probablement en raison de sa richesse créée par l'industrie textile. En 1396, Geislingen an der Steige et le château d'Helfenstein ainsi que 26 autres villages de l'Alb d'Ulm ont été ajoutés.[2] Ceci est important car les pipiers sont mentionnés dans l'état d'Ulm qui ont demandé à la ville le 22 mai 1695 d'être autorisés à vendre leurs produits à Ulm également.
Dans le premier document de ce type sur les pipiers de l'État d'Ulm, deux artisans ont déclaré au conseil : "Il y a plusieurs années, nous avons commencé à fabriquer des pipes à tabac en bois, en les équipant de tôles blanches et jaunes." [3] Les deux ont postulé. pour une commande de pipiers et souhaitaient être reconnus comme une corporation, ce qui aurait assuré la vente directe de leurs produits dans la ville. La motivation de cette nouvelle branche d'activité était le grand besoin des loupes de thuya et des artisans du pays, car la concurrence entre eux était si grande que de nombreux compagnons et maîtres n'avaient plus assez de travail et se tournaient vers d'autres métiers. La demande fut rejetée par le conseil municipal d'Ulm le 31 juillet 1695 car les fabricants de pipes à tabac n'avaient ni appris ni exploré ce métier. De plus, personne n'est autorisé à avoir deux métiers côte à côte.
Vingt ans plus tard (1715) les habitants de Geislingen tentent alors de sortir de la scène du « commerce hors guilde » : « Nous sommes maintenant 50 pipiers et voulons monter notre propre guilde », revendiquent-ils avec assurance[4] . Le 20 février 1716, le conseil municipal rejeta également cette demande, ce qui signifiait que la fabrication de pipes restait un commerce libre qui n'était souvent pratiqué qu'en marge. "Contrairement aux métiers corporatifs, les métiers libres ne connaissaient ni droit de maître artisan, ni temps d'apprentissage ou de compagnon ; surtout, cependant, aucune restriction quant au nombre d'employés."[5]
La décision du Conseil montre clairement à quel point les restrictions imposées par les règlements de la guilde étaient sévères. Les règlements de la guilde stipulaient pour tous les artisans que seule la dernière personne travaillant sur le produit était autorisée à vendre le produit. Un protocole du conseil municipal du 17 août 1824 réglemente également l'interdiction du commerce des tuyaux de pipes pour les fabricants de pipes et de peignes à la suite d'une plainte des tourneurs de trompes. Seuls les Nadler, Säckler et Gürtler[6] étaient autorisés à faire le commerce des tubes de pipes , mais pas les pipiers eux-mêmes. Le contexte de ces accrochages entre artisans était la lourde réglementation de la ville d'Ulm et le manque de travail. . Les autorités ont voulu utiliser des réglementations dites fiscales pour éviter que la concurrence entre artisans ne s'aggrave[7].
Les tisserands et les bateliers danubiens sont également touchés par les changements de la situation du travail : une autre partie de leurs revenus est un complément de revenu à temps partiel, et ils s'occupent donc aussi de la fabrication de pipes.[8] Cependant, la production de pipes elle-même n'était pas la principale cargaison des bateliers naviguant sur le Danube. Cela ressort clairement d'une liste des marchandises les plus fréquemment transportées : tabac, bière, lainages, huile, eau-de-vie, quincaillerie, cuir, huile de lin et amadou.[9] Ulm était le lieu de stockage des "Ulmer Zillen", également appelés "Ulmer Schachteln". Ces Zillen étaient des navires à proue plate mesurant jusqu'à 4 m de large et 20 m de long, qui descendaient le Danube jusqu'à Vienne. Jusqu'à environ 1900, jusqu'à 4 navires transportant des marchandises marchandes étaient envoyés en voyage par semaine.[10] En règle générale, les navires construits à Ulm étaient revendus à des commerçants de Vienne, qui les transformaient ensuite en bois de chauffage. Les ramener à Ulm, le soi-disant remorquage, aurait été trop coûteux.[11] Cela explique également que le mouvement des marchandises sur le fleuve se faisait principalement dans un sens - vers l'aval.
Cet aspect est important car une grande quantité de bois de ronce était utilisée pour la production de pipes à Ulm. Du matériel flottait probablement au-dessus de l'Iller depuis les contreforts des Alpes. Sarrazin cite une source de 1488, selon laquelle Ulm recevait son bois de l'Iller et diverses marchandises du Danube.[12] Cette formulation permet les deux conclusions : le bois provenait de l'Iller des contreforts des Alpes et peut-être aussi de chevaux ; bois de ronce élevé, c'est-à-dire remorqué, d'Autriche, de Hongrie et peut-être de Turquie.
La situation au XIXe siècle
À partir de 1840, la production de pipes décline régulièrement. La raison en était l'apparition de pipes en porcelaine bon marché, en particulier de Meissen, et probablement aussi de pipes en écume de mer de plus en plus sculptées. Une autre raison était la diffusion généralisée des cigares à partir de 1850.
En 1870, il ne restait plus que trois pipiers dans la ville d'Ulm : Leonhard Eberle à Radgasse et Xaver Reismiller à Kronengasse.Une autre source mentionne Friedrich Notz à Glöcklesgraben[13]. Une nouvelle baisse de production est mentionnée dans la même source en raison de la difficulté à se procurer des racines de thuya, d'aulne et de genévrier à partir de 1880.
Dans le carnet d'adresses d'Ulm de 1894, l'épicier Eduard Lohmüller propose non seulement des sous-vêtements masculins mais aussi de "authentiques pipes en loupe d'Ulmer" dans une publicité. Dans le même numéro, la société Gebrüder Kunst fait de la publicité complètement cachée dans une publicité pleine page dans la Platzgasse, déclarant qu'elle propose des pipes Burl d'Ulm, effectue des réparations et vend des pièces détachées à bas prix. Dans les années 1896 et 1902, les fabricants et entreprises de pipes à tabac sont mentionnés dans le carnet d'adresses d'Ulm :
Haas, Heinrich, Engelgasse 1,
Art, frères, Herrenkellergasse 1,
Letsch, Jakob, Sterngasse 13,
Lohmüller, Ed., Hirschstr. 24,
Oettinger, frères, Sattlergasse 16,
Silberhorn J., successeur : A. Blumhardt, Hafengasse 12,
Staudenmayer, Gustav, Herdbruckerstr. 5.[14]
Il s'agit plus probablement d'un concessionnaire que d'un fabricant. La situation est différente avec la publicité de J. Silberhorn, dans laquelle, en plus des pipes, d'autres articles tournés sont également proposés ; cela aurait vraiment pu être une entreprise manufacturière.[15] Ce qui est particulièrement agréable dans cette publicité, c'est que Silberhorn représente deux coqs avec de belles chaînes. La société Kunst peut également être comptée parmi les pipiers, puisqu'ils faisaient encore de la publicité pour leurs pipes en émail d'Ulm dans le magazine "Jugend" en 1902 - mais il n'y avait plus aucune mention des pipes en bois de ronce.[16]
L'hypothèse selon laquelle ce sont les deux derniers pipiers d'Ulm est renforcée par les informations de Friedrich Becker, qui en 1878 ne liste que deux producteurs : Johannes Silberhorn, Hafengasse 97, et son fils Stefan Silberhorn. En 1883, après Becker, ce sont Johannes Silberhorn et les frères Kunst[17]. Dans la littérature, le nom du tourneur de pipes Otto Staiger apparaît occasionnellement, qui fut probablement la dernière personne à fabriquer des pipes uniques à Ulm. Il était aussi particulièrement doué pour reproduire les belles boules de jambes avec le moineau et le dicton : "Je suis d'Ulm". Cependant, les pièces produites sont restées des cas isolés et Staiger est mort pendant la Seconde Guerre mondiale alors qu'il était pompier à Ulm.[18]
Le bois pour les pipes d'Ulm
Le soi-disant "bois de ronce" a été utilisé pour fabriquer les pipes d'Ulm. Les "rougeoles" sont toujours en bois de racine. Selon le type de bois, ces nodules noueux fournissent le bois convoité et ignifuge pour la production de tuyaux.[19] Par précaution contre le bois trop tendre et combustible, la plupart des pipes d'Ulm étaient doublés de tôle, non seulement dans la chaudière à tabac mais aussi dans le tube de fumée de la pipe. Dans un ouvrage de base pour la production de pipes d'Ulm de 1830, les types de bois appropriés sont nommés : orme brut et lisse, frêne, aulne commun et blanc, bouleau, peuplier blanc, peuplier commun, érable, érable de Norvège, le thuya, l'aulne, le genévrier, le sorbier, le sureau noir , le nerprun, le noyer et le buis
Le bois pour les pipiers de l'état d'Ulm était vendu par des "défenses de maser", c'est-à-dire des collectionneurs de bois de ronce. Un journal bavarois de 1816 en témoigne : « Quand Ulm et ses environs étaient sous souveraineté bavaroise [1803-1810, l'auteur], les porteurs venaient de là à travers l'Inn et se trouvaient immédiatement sur le tronçon sud du Simsees avec que Erlen Maaser, qui fournit un excellent matériel pour ce type de fourneau de pipe."[21]
L'origine du grain du bois est diverse. Il y a des indications que le buis est venu en grande quantité de Turquie, tandis que le Schwabenspiegel de 1928 a nommé "des gangs de gitans de Hongrie, de Roumanie et d'autres pays du Danube" comme fournisseurs de bois.[22] Il indique également que de nombreux pipiers employaient leurs propres fournisseurs qui fournissaient du bois de Bavière, du Wurtemberg et des forêts de Bohême. Le bois de Bohême notamment est encensé en 1830. Dans une autre source, la Suisse et le Tyrol sont nommés comme pays d'origine du bois de loupe.[23]
Il serait faux de supposer que le bois de ronce ne pouvait être obtenu qu'à partir des gisements de saule, d'aulne, de thuya, de genévrier et d'autres bois des plaines inondables du Danube, par exemple près de Neu Ulm-Pfuhl. Ces gisements étaient peut-être initialement suffisants pour une production à petite échelle, mais s'il y avait déjà 50 pipiers à Geislingen en 1715 (voir ci-dessus), la matière première devait être achetée à une large zone. De plus, au plus fort de la production de pipes à Ulm entre 1735 et 1840, tout ce qui était possible était transformé à partir de bois de racine. Les aspects qualitatifs ont également joué un rôle majeur, comme le montre clairement la citation suivante, qui consiste à savoir si un acheteur doit craindre un patch, c'est-à-dire un endroit endommagé : "Mais on n'a pas à craindre une telle fraude de la part des fabricants d'Ulm, au moins ils attirent l'attention sur de telles erreurs et préfèrent vendre des têtes avec eux à bas prix, car ils s'efforcent de préserver leur ancienne renommée de longue date et le feront."[24]
Malgré tout cela, l'approvisionnement en bois de ronce approprié était un problème constant et les efforts des tailleurs de ronce pour continuer à fournir du bois de ronce neuf à leurs clients ont conduit à la dégradation des forêts. Les Maserhauer ne se sont pas bornés à déterrer les racines des troncs morts, mais ont abattu des arbres pour obtenir des racines fraîches et exploitables, ce qui a peut-être aussi rapporté plus d'argent. Dans les règlements forestiers du Wurtemberg des 18e et 19e siècles, cet « outrage forestier » a été critiqué. Dans un décret du ministère des Finances du Wurtemberg de la fin du XVIIIe siècle. les forestiers ont reçu pour instruction de ne plus tolérer cette surexploitation dans les forêts autour de Waldstetten et de Rechberg, c'est-à-dire dans la région d'Ellwangen.[25]
Les formes des pipes
Les pipes d'Ulm se distinguent par deux formes de base : la forme hongroise et l'Ulmer Kloben. La forme hongroise est un sifflet haut et étroit qui dépasse de loin le cou avec l'ouverture pour le roseau; la tête a généralement toujours un couvercle plat, principalement décoré, pour couvrir les braises. Le coq Ulmer classique est un type spécial de tête hongroise avec une crête en bois allongée et effilée vers le bas qui longe l'avant et le bas. Le bol et le col de la pipe sont généralement au même niveau. Le couvercle du robinet a généralement la forme d'un casque ou d'un dôme et est souvent perforé pour permettre à l'air d'entrer. Dans les deux formes, le tube à fumée et le bol de la pipe sont souvent reliés par une chaîne pour la sécurité et la décoration. Les soi-disant chaînes de pois, qui étaient généralement attachées deux fois au tuyau («chaînes de pois doubles»), étaient particulièrement populaires.
Helmut Aschenbrenner a exprimé un aspect très intéressant sur le développement de l'Ulmer Kloben : "Selon l'avis de certains historiens industriels, la tête de l'Ulmer [pipe] est en partie une réplique de certains casques, à savoir les cagoules du XVIe siècle.. . Si vous couvrez les deux tiers supérieurs , alors vous avez en fait quelque chose comme une cagoule (vue de face) devant vous. L'aspect du casque peut également être vu très clairement si vous retournez l'image latérale d'un sifflet et couvrez les parties libres de la tête et du cou."[26]
La ressemblance avec les cagoules historiques est en effet frappante lorsque les deux objets sont directement comparés. Ulm était un bastion et une importante base militaire depuis 1605, qui a été agrandie en forteresse fédérale en 1850. Les nombreux bastions et forteresses caractérisent encore aujourd'hui le paysage urbain d'Ulm. Il est raisonnable de supposer que les soldats constituaient un groupe de clients important et souhaitaient une forme de pipe spécifique. Lorsque le tisserand Jakob Glöckle prétend avoir découvert la forme Ulmer Kloben dans la ville d'Ulm en 1735, [27] on peut supposer qu'il l'a d'abord fait comme un travail commandé pour un soldat. La nouvelle forme, basée sur un casque, est rapidement devenue très populaire dans les milieux militaires et a été reprise et développée non seulement par son inventeur présumé Jakob Glöckle, mais aussi par de nombreux autres sculpteurs de pipes. Et même si, contrairement aux grades supérieurs, les simples soldats devaient manquer de moyens financiers, ils pouvaient aussi tailler eux-mêmes de tels fourneaux.
Les pipes d'Ulm n'étaient pas seulement fumées par les militaires, mais par toutes les classes et classes. Il y a des illustrations de paysans fumant leurs pipes en loupe pour célébrer la journée. Les pipes ont été travaillés très différemment dans leurs sculptures. Il y a des sifflets avec des scènes de chasse, d'autres montrent des sculptures ajourées en trois dimensions qui ont mis des semaines à se terminer. Ces œuvres sont souvent si fines qu'un certain nombre de détails peuvent être déterminés même sur un centimètre carré. Ces sculptures ont été réalisées individuellement sur commande et, dans certains cas, rehaussées d'orfèvrerie.
Vers 1840, 114 types de bols de pipe ont été fabriqués à Ulm, principalement des pipes de style hongrois.[28] Cela est suggéré, entre autres, par des illustrations contemporaines : Une scène d'atelier a été imprimée dans le Pfennig Magazin de 1835, où 14 têtes hongroises seules étaient accrochées à la fenêtre du petit atelier de pipier. La feuille d'échantillons de Johann Leibinger de 1820 montre dix pipes en forme hongroise et seulement deux en forme de coq classique.[29]
Une forme spéciale de pipes d'Ulm est la soi-disant Pfuelere, une forme qui a été fabriquée dans le quartier de Pfuhl de l'actuel Neu-Ulm. Une exposition présentée en 1987 était consacrée à ce lieu de production, qui n'a probablement acquis qu'une notoriété locale ou régionale[30].
Jusqu'en 1995 environ, l'entreprise hessoise Schum de Bad König dans l'Odenwald produisait différentes formes de pipes Ulmer. Cependant, ceux-ci étaient beaucoup plus simples à travailler et le couvercle était principalement en argent allemand.
L'orfèvrerie
Le centre de tous les travaux d'argent pour la pipe d'Ulm est le couvercle : il est principalement plat dans la forme hongroise et les rainures en forme de coquille prédominent dans le couvercle, tandis que dans le coq, il a une forme de casque et est souvent percé de fleurs et, selon sur la qualité, richement décoré. Le haut de ce couvercle de casque est presque toujours étagé.
Une forme spéciale du couvercle est la réplique d'un casque de chenille bavarois. Ce type de casque peut aussi avoir servi de modèle pour la forme du bol de la pipe ; dans la tenue argentée, le casque chenille est clairement reconnaissable en tant que modèle. Ce type de casque a été introduit dans l'armée bavaroise à partir de 1800 et était considéré à Ulm comme un symbole de l'occupation par les Bavarois de 1802 à 1810.[31] Le fait de ramasser le casque de chenille soutient l'hypothèse de l'auteur selon laquelle l'Ulmer Kloben aurait pu être des souvenirs des soldats (bavarois) stationnés à Ulm, similaires aux sifflets des réservistes apparus plus tard.
Une autre forme particulière de ce travail d'argent sont les doubles couvercles, dans lesquels un deuxième niveau est incorporé. Cela a permis au propriétaire d'incorporer des symboles de statut personnel ou des motifs de sa profession. De plus, la forme plus simple du coq a été améliorée avec ce précieux double couvercle. Il y a des couvercles à monogrammes, des attelages de bœufs, des chamois, un forgeron à l'enclume ou un serrurier faisant un bol[32].
Ce qui est frappant dans les pipes connues de l'auteur, c'est que le chiffre 13 est gravé à plusieurs reprises sur le bord du couvercle, ce qui représente la teneur en argent du métal. Il n'y a que quelques pipes qui montrent une marque de fabricant, bien que Manger parle d'avoir une marque sur "la plupart des rebords de couvercle".[33]
Le travail de l'argent n'a été réalisé que dans une faible mesure dans l'état d'Ulm même, mais les commandes pour cela sont allées jusqu'à Blaubeuren, Heilbronn et Schwäbisch-Gmünd ; à cette dernière ville principalement en raison du traitement local du cuivre et du tombac. L'influence de Schwäbisch-Gmünd était énorme, en particulier pour la production de pipes à Waldstetten et Rechberg. On peut supposer que de nombreuses ferrures métalliques sont arrivées à Ulm à partir de là.
Semblable à l'approvisionnement en bois, une main-d'œuvre bon marché était employée ailleurs par les pipiers d'Ulm. En 1829, des orfèvres travaillaient à Blaubeuren, Heilbronn et Schwäbisch-Gmünd en tant qu'employés des pipiers Martin et Johannes Leibinger à Ulm. D'autre part, les orfèvres d'Ulm, avec les tourneurs, ont intenté une action en justice contre les deux Leibinger auprès du conseil municipal. Cependant, les suspects ont affirmé que le décret du Conseil de 1790 leur donnait le droit de fabriquer des pipes entières. Le conseil a décidé que les frères devraient avoir le droit de vendre toutes les pipes commandées à l'extérieur avec de l'orfèvrerie étrangère. Cependant, les tuyaux d'Ulm et de la région d'Ulm devaient être montés par des orfèvres d'Ulm. En 1829, les Leibinger obtinrent une concession en tant qu'usine et les restrictions du système de guilde ne les affectèrent plus.[34] L'incident montre également à quel point la loi sur les guildes dans la ville d'Ulm était compliquée et il était logique de chercher des alternatives.
Les pipiers
Le tisserand Jakob Glöckle d'Ulm est mentionné très tôt (1830) dans la littérature comme l'inventeur de la forme classique du coq et, comme beaucoup d'autres habitants, sculpte des pipes à temps partiel[35]. Comme on ne sait pas exactement quels formulaires ont été produits auparavant, on peut supposer que le formulaire a en fait été créé à Ulm. Le fait que l'inventeur n'était qu'un pipier à temps partiel peut illustrer la situation économique difficile du métier de pipier.
On peut supposer que l'importance de cette ligne de touche était plutôt faible. Il n'y avait pas de production en usine de pipes, bien que le nombre de pipiers ait considérablement augmenté au fil des ans : Walter Morgenroth a répertorié 21 pipiers de 1790 à 1830, et Häberle a nommé jusqu'à 45 pipiers pour les années 1797 à 1812.[36 ] Johannes Molfenter, qui est mentionné comme un facteur particulièrement habile entre 1770 et 1812 environ, devait avoir une position particulièrement remarquable parmi ces pipiers[37].
Il existe des informations isolées sur la taille d'un atelier. En 1790, Martin Leibinger employait onze ouvriers sur place et à l'extérieur : le pipier Schill (père et fils), Staib à Langenau, Schwarzkopf avec ses frères et sœurs à Rechberg et Josef Schnee à Braunhöfle près de Rechberg. Son frère Johannes employait douze ouvriers et huit hommes à l'étranger : les trois frères Baumhauer sur le Rechberg, Konrad Rupp avec deux frères et à Söflingen Philipp Speidel avec des compagnons. De plus, cinq hommes ont travaillé dans les forêts pour les deux Leibinger et ont obtenu le bois de ronce.[38] Le nombre total de personnes travaillant à plein temps dans le commerce de la fabrication de pipes n'était que de 40 à 45 citoyens entre 1797 et 1812.[39] Il s'agit de 14 contremaîtres avec leurs employés. Cependant, le nombre de personnes qui fabriquaient également des pipes à temps partiel était peut-être beaucoup plus élevé.
Il convient également de mentionner un aspect régional particulier : à partir de 1800 environ, il y avait aussi des pipiers dans le quartier d'Ulm à Söflingen. Le premier était Carl Nuding.[40] L'origine de la famille se trouve à Rechberg, l'actuel quartier de Waldstetten, où la production de pipes est documentée dès avant 1700.[41]
La distribution
Les vives querelles entre les guildes d'Ulm prouvent qu'il n'y avait pas de répartition uniforme et organisée au sens moderne. L'échange de matière première contre des coqs et des chapelets est documenté à partir de 1816.[42] Il était également courant que les pipiers se déplacent directement vers la ville ou à travers le pays avec leurs produits, comme le savent les pipiers de la Rhön et de la Ruhla.[43]
À Ulm même, les commerçants, orfèvres, brodeurs et tapissiers avaient le droit de vendre les pipes finies. Selon la loi corporative, la fabrication des pipes à fumer était réservée aux tourneurs, mais la décoration des pipes avec des engrenages en argent était réservée aux orfèvres. Cependant, les pipiers n'étaient pas autorisés à vendre leurs propres pipes car les pipes étaient fabriquées par des artisans professionnels et étaient considérées comme des "articles indésirables". Ce n'est qu'en 1828, après une plainte des pipiers d'Ulm, que la vente directe est autorisée[44]. Environ un tiers des pipes sont restées à Ulm et dans la région d'Ulm, tandis que l'essentiel de la production est allé en Autriche, en Bavière, à Bade, en Alsace et en Suisse.[45] Les bateliers danubiens avec leurs barges jouaient probablement un rôle tout aussi important que le commerce terrestre. On peut supposer que toutes les pipes exportées n'étaient pas complètement chaussées.
Collectionner les pipes en loupe d'Ulm
Les pipes en bois d'Ulm sont aujourd'hui un objet pour les collectionneurs qui ont un faible pour la bonne facture. Non seulement le bois, mais aussi les ferrures en argent témoignent d'un savoir-faire exceptionnel. En raison des coûts de production élevés des pipes d'Ulm et des prix qui y étaient associés même à l'époque, la pipe d'Ulm était déjà un symbole de statut à son époque. Plus les garnitures et les sculptures en argent étaient somptueuses, plus la pièce était et est précieuse.
"Toute pipe ne vaut que ce qu'un collectionneur est prêt à payer", écrit Manger dans son chapitre sur la valeur des pipes d'Ulm.[46]
En tant que collectionneur de longue date de pipes d'Ulm, l'auteur souhaite faire quelques recommandations de son point de vue.
En tant que pipe en bois, la pipe d'Ulm est plutôt simple et pas aussi "spectaculaire" que les pipes en porcelaine magnifiquement peintes ou les pipes en écume de mer finement sculptées. Il faut donc avoir une attitude fondamentalement positive envers cette pipe plutôt rustique. Ceux qui ont cet amour seront surpris de la richesse qu'offrent les pipes. Tous les Ulmer qui ressemblent à un Ulmer ne doivent pas avoir été fabriqués dans la Terre d'Ulmer. Un bel exemple en sont les "pipes de dauphin" très recherchés, qui ne doivent pas nécessairement venir d'Ulm. Il y a des indications qu'ils pourraient provenir d'Ansbach/Franconie.[47]
Le deuxième critère important pour la valeur d'une pipe est la monture en argent du couvercle. Plus un travail est complexe, plus sa valeur est élevée. Une pipe qui porte un poinçon d'argent ou dont le travail est très finement ciselé prend une valeur supplémentaire. Les motifs représentant des scénarios artisanaux sont bien sûr plus recherchés par les collectionneurs que les purs motifs de chasse, qui sont cependant l'exception avec les pipes d'Ulm. Cependant, une grande prudence est requise avec les décorations en argent sur les têtes elles-mêmes. Certaines de ces formes d'argent sont encore coulées aujourd'hui et chaque Ulmer simple peut être "raffiné" de cette manière par la suite afin d'atteindre des prix nettement plus élevés.[48] On peut également se demander si les clous courts avec lesquels la ferrure était fixée n'auraient pas trop endommagé le précieux bois de grain. Cependant, des raisons techniques pourraient suggérer que le raccord en argent a pu couvrir des zones endommagées. Une autre raison peut être le besoin de reconnaissance du premier propriétaire, désireux de se différencier des autres fumeurs de pipes en forme de piston moins chères.
Aujourd'hui, la valeur est principalement déterminée via le conduit de fumée adapté ou non. Une pipe avec un tube à fumée assorti a une cote nettement supérieure à celle d'un bol seul. Cependant, l'évaluation du caractère approprié ou non d'un tuyau est souvent subjective. On peut supposer que même les pipiers ne savaient souvent pas quels tuyaux étaient assemblés par les tourneurs. Aussi, au fil des années, différents fumeurs et collectionneurs ont pu changer ou renouveler les pipes. Pour les pipes françaises, le terme "en suite" est entré en usage lorsqu'une pipe a un arbre correspondant. Cet effet d'ensemble est extrêmement rare avec les pipes d'Ulm. Il est parfois aventureux de voir quelles tiges sont montées sur les pipes d'Ulm aujourd'hui. L'anche aigre, si populaire avec d'autres fourneaux de pipe, est presque toujours fausse. Même avec des inserts en bois de cervidé, cela n'a pas été traité avec autant de luxe. La situation est différente avec les morceaux de corne tournés. Si ceux-ci sont minutieusement pourvus de rainures ou de décorations sculptées, ils peuvent plutôt être considérés comme des tuyaux de fumée originaux.
Les allonges Ulm assorties peuvent avoir un contraste noir et blanc, qui a également été obtenu avec des incrustations de nacre ou des clous en argent. Les embouchures de cor d'origine ont souvent jusqu'à 25 rainures de morsure, ce qui n'était plus si courant par la suite.
Une particularité sont les boules d'os de couleur claire intégrées dans le tuyau, qui étaient parfois décorées de motifs d'Ulm : on peut voir l'Ulmer Spatz avec une paille, par exemple, ou un wagon de fret d'Ulm très chargé. Parfois, il est écrit "Je viens d'Ulm" ou "Je viens d'Ulm". La variante "I bi vo Ulm" mentionnée dans la littérature n'a pas encore été portée à l'attention de l'auteur, mais il y a un sifflet avec un anneau de jambe et l'inscription "Ih komm vo Ulm" dans la collection Manger[49].
Les pipes d'Ulm portent souvent un cachet en bois du pipier avec les armoiries noires et blanches de la ville. Les timbres en bois de ML (Martin Leibinger) - comme la mienne ou CN (Christian Nuding) sont assez courants.
Un chapitre spécial dans le cas des tuyaux en bois de ronce sont les zones de mastic. Le pipier était toujours content quand il avait coupé le bois de racine et qu'il le gardait après la finition. Afin de pouvoir encore vendre le précieux bois en cas de dommages mineurs, il était logique d'éliminer les points faibles par polissage et teinture. Ces conseils étaient particulièrement nombreux dans l'ouvrage standard pour l'Ulmer Pfeifenmache
Sources non imprimées
Becker, Friedrich : Arbre généalogique de la famille de pipiers Söflinger Nuding. Manuscrit inédit de février 1966 dans l'inventaire des archives de la ville d'Ulm, signe 320/60. Archives de la ville d'Ulm, Sign. 774/13 n° 8.
Buck, Anton : chronique locale Waldstetten. Série D/Tome III. Waldstetten 1978.
Document non publié
Littérature
Carnet d'adresses de la ville d'Ulm 1894. Ulm 1894.
Carnet d'adresses de la ville d'Ulm 1896. Ulm 1896
Carnet d'adresses de la ville d'Ulm 1902. Ulm 1902.
Anonyme : La fabrication de pipes à fumer à partir de grain de bois, d'écume de mer, d'argile et de terre turque et de briquets chimiques. En plus des cours de ferrage, de shopping, de fumage, de traitement des boules de pipe. Ulm 1830.
Anonyme : Les têtes de loupe de pipe d'Ulm. Dans : Ulmer Zeitung du 19 décembre 1933.
Anonyme : A propos de la collecte du bois pour les douilles de pipe d'Ulm. In : Indicateur hebdomadaire * de l'artisanat d'art du Royaume de Bavière. Munich 1816, page 327.
Anonyme : Sur les traces d'un tas. Dans : Neu-Ulmer Zeitung du 31 août 1987.
Aschenbrenner, Helmut : Pipes d'Ulmer. In : Pipe et briquet millésime 1965, H. 12, p.9 ff.
Becker, Friedrich: Brume bleue des pipes d'Ulmer - Des fumeurs de tabac et des fabricants de pipes. Dans : Forum d'Ulm. H.66/1983, p.35
Dieterich, Michael : Description de la ville d'Ulm. Ulm 1825.
Güthlein, Hans : La collection de pipes à tabac du musée local de Feuchtwanger. Dans : Sécurité intérieure bavaroise. 22e année/1926. II. Semestre, p. 98
Häberle, Adolf : Les célèbres douilles de pipe en bois de loupe d'Ulm dans leur importance culturelle et économique. Amberg 1950.
Levardy, Ferenc : Nos ancêtres fumeurs de pipe. Velbourg 1994.
Mangeoire, Anton : Les fameux sifflets en loupe d'Ulm. Wolbach 1998.
Merkle, Wolfgang : Affaires et commerce dans la ville d'Ulm. Hohenheim 1988.
Morgenroth, Walter : Tout sur la vente aux enchères de tabac Collection Haegeli, Metz Auction House, Heidelberg, Karlsruhe : Götz 2000.
Osiander, W. : Ulm et sa cathédrale et ses environs. Guide touristique à travers Ulm et ses environs avec tous les sites touristiques. Ulm 1900.
Ramazzotti, Eppe/Mamy, Bernhard : Pipes et fumeurs de pipe. Genève 1982.
Schaller, Peter: Sur l'histoire économique d'Ulm. Le développement de l'Ulmer
Sarrazin, Jenny/Petershagen, Henning : Schopper, skipper, pêcheur du Danube. Livre d'accompagnement de l'exposition spéciale au Musée d'Ulm. Ulm 1997.
Specker, Hans-Eugen: Histoire de la ville d'Ulm. Ulm 1977.
Références
1. Haberle : Ulmer ; Entraîneur : Ulmer
2. Osiandre : Ulm, p. 8.
3. Häberle : Ulmer, page 21. « Blech » signifie argent et tombac, un type de laiton avec une teneur en cuivre de 70 à 90 %.
4. Haberle : Ulmer, p. 21.
5. Merkle : Gewerbe, page 174.
6. Merkle pages 176/177
7. Specker : Ulm, page 169.
8. Sarrazin/Petershagen : Schopper, p. 58.
9. Ibid., p. 41.
10. Häberle : Ulmer, page 16. Chaque navire mesurait environ 20 m de long et 4 m de large. 11. Début du 19ème siècle. 50 000 quintaux descendaient le Danube chaque année.
12. Sarrazin/Petershagen : Schopper, page 25, mentionnent également un "plat grinder" qui rachète le navire.
13. Ibid., p. 15.
14. Haberle : Ulmer, p. 24 ; Becker : Dunst, page 56.
15. carnet d'adresses 1894; 1896 et 1902.
16. Carnet d'adresses de la ville d'Ulm de 1896, page 102, Stadtarchiv Ulm
17. Jeunesse numéro 43 du 24 octobre 1903, page X
18. Becker : Dunst, page 56.
19. Aimablement communiqué par Anton Manger, Wollbach.
20. Aujourd'hui, la production moderne de tuyaux repose sur le bois de bruyère d'Erica Arborea.
21. Anonyme : Fabrikation, p.6
22. Anonyme : collecter
23. Schwabenspiegel n° 22, 1928 page 173
24. Anonyme : Fabrikation, page 7 ; anonyme : têtes de loupe de pipe.
25. Anonyme : Fabrication, p. 106.
26. Voir Buck : Ortschronik, page 713
27. Aschenbrenner : Ulmer, p. 9.
28. Aschenbrenner, p.22
29. Voir Häberle : Ulmer, pages 24 et 35 ; en détail Levardy : Pipe, p. 143.
30. La feuille d'échantillons est imprimée dans Häberle page 35
31. Anonyme : traces.
32. Un original de ce casque se trouve au musée d'histoire de l'armée à Ingolstadt.
33. Le dernier exemple est montré dans Ramazzotti/Mamy : Pfeifen, p. 6.
34. Responsable : Ulmer, p. 56
35. Haberle : Ulmer, p.25 et suiv.
36. Haberle p.22
37. Morgenroth, page 335 ; Haberle, p.25
38. Merkle : Gewerbe, page 176.
39. Haberle : Ulmer, p.25 et suiv.
40. Dieterich : Description, page 153.
41. Becker : arbre généalogique.
42. Une association muséale fondée en 1995 se consacre à ce métier oublié, bien qu'avec beaucoup de difficulté, car très peu de témoignages nous sont parvenus. Voir aussi Manger : Ulmer, p. 96.
43. Morgenroth, p.327
44. Conseil amical d'Anton Manger, Wollbach, qui en a fait l'expérience lui-même dans son enfance avant la Seconde Guerre mondiale.
45. Merkle : Gewerbe, page 177.
46. Becker : Dunst, page 55.
47. Responsable : Ulmer, p. 105
48. Guthlein : Collection. Certaines de ces pipes sont disponibles au musée d'histoire locale de Feuchtwangen.
49. Personnellement, l'auteur est également sceptique car la forme d'un coq d'Ulm est en fait flatteuse au toucher, là où les décorations en argent ont tendance à être gênantes. Ils sont plus pour l'optique que confortables en main.
50. Gentiment conseillé par Anton Manger, Wollbach.
51. Anonyme : La Fabrication, pp.11-54
Selon mon expérience personnelle, les pipes à foyer chemisés intérieurement de métal disposent de bois plus tendres et beaucoup moins intéressants en terme de grain, parfois même en bois et non en loupe, à l'instar de la pipe rapportée de captivité par mon grand-père qui l'avait acheté en Poméranie. (En plus c'est littéralement infumable).
Bdt1200n- Hôte fondateur - Confrère Pipier
- Messages : 935
Date d'inscription : 21/01/2013
Age : 65
Localisation : je viens de chez moi et d'ailleurs je ne vais pas tarder à y retourner
Page 3 sur 9 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9
Sujets similaires
» La collec' de Monsieur de Mesmaeker
» La collec' à Ludoc
» Des bougies pour Monsieur De Mesmaeker !
» ma p'tite collec
» Ma Petite Collec !
» La collec' à Ludoc
» Des bougies pour Monsieur De Mesmaeker !
» ma p'tite collec
» Ma Petite Collec !
A la Noble Bouffarde :: :: Les pipes et accessoires :: Nos pipes et accessoires :: La vitrine de nos pipes :: Les collections personnelles
Page 3 sur 9
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum