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Le piège 42 L'illsutration est de Brase d'Anjou
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Le piège 42 L'illsutration est de Brase d'Anjou
« Vous allez perquisitionner les domiciles des victimes.
Les clefs doivent se trouver dans les pièces remises par Delabre et la DGSE.
On part de zéro et on épluche tout.
Essayez de repérer ce qui semblerait anormal.
Pendant ce temps mettez les autres à faire du porte-à-porte.
Ne cherchez pas à être discrets. Au contraire.
Je n’ai pas besoin de vous expliquer pourquoi.
Lambert tu expliqueras à Le Guénnec avant qu’elle attrape une migraine.
Je n’ai pas besoin non plus de vous dire comment vous organiser.
Tenez-moi au courant tout de suite si vous trouvez quoi que ce soit d’intéressant.
Briefez les autres pour qu’ils vous signalent sans délai s’ils ont quelque chose.
Et rappelez leur bien que nous ne sommes plus sûrs de rien sur l’identité des victimes.
Donc le nom OU la photo.
On va consacrer la fin de cette journée au terrain.
Demain on se mettra au travail ici.
On fera le point sur ce que vous aurez récolté et on s’occupera des téléphones et des fadettes fournies par la DGSE en attendant celles que nous demandons.
Lambert n’oublie pas. C’est prioritaire
- Je le fais avant de partir Patron.
- Bien.
En principe, je serai au bureau si vous avez besoin d’une info sur les pièces stockées ici ou sur un point des dossiers.
En marche ! »
Grindier et Lambert vont rejoindre le reste de la brigade.
A travers la baie vitrée qui donne sur la grande salle il les voit se préparer pour partir sur le terrain.
Il reste quelques instants immobile.
Il prend sa pipe et la vide soigneusement dans le cendrier.
Il sort du tiroir de quoi la nettoyer puis la garnit à nouveau.
Il l’allume et reste assis dans son fauteuil l’air songeur.
Quand tous ses hommes sont partis, il prend son cellulaire
« Claude, on ne se quitte plus.
- Je veux juste te mettre au courant de ce que j’ai mis en marche.
Je te communiquerai les résultats comme convenu.
Mais je pense qu’il y aura des réactions.
- C’est fort probable.
- J’aimerais que tu me m’avertisses dès que tu as quelque chose.
Plus je réfléchis et plus je me dis qu’on va finir par mettre la main sur un truc qui pue et que ça va provoquer des remugles.
Mes hommes sont partis sur le terrain.
Perquisition des domiciles et enquête de voisinage.
J’attends les retours.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai le pressentiment que ce sera… surprenant.
- D’accord Claude.
Tu me tiens informée. Et n’oublie pas, comme nous l’avons prévu, les rapports pour transmission à la DGSE.
- Sans problème. Et ne m’oublie pas si ça bouge.
- Tu seras averti immédiatement.
- Merci. Bonne journée.
- Toi aussi. »
Chapelier range son téléphone.
Il continue à fumer appuyé en arrière dans son fauteuil.
Les clefs doivent se trouver dans les pièces remises par Delabre et la DGSE.
On part de zéro et on épluche tout.
Essayez de repérer ce qui semblerait anormal.
Pendant ce temps mettez les autres à faire du porte-à-porte.
Ne cherchez pas à être discrets. Au contraire.
Je n’ai pas besoin de vous expliquer pourquoi.
Lambert tu expliqueras à Le Guénnec avant qu’elle attrape une migraine.
Je n’ai pas besoin non plus de vous dire comment vous organiser.
Tenez-moi au courant tout de suite si vous trouvez quoi que ce soit d’intéressant.
Briefez les autres pour qu’ils vous signalent sans délai s’ils ont quelque chose.
Et rappelez leur bien que nous ne sommes plus sûrs de rien sur l’identité des victimes.
Donc le nom OU la photo.
On va consacrer la fin de cette journée au terrain.
Demain on se mettra au travail ici.
On fera le point sur ce que vous aurez récolté et on s’occupera des téléphones et des fadettes fournies par la DGSE en attendant celles que nous demandons.
Lambert n’oublie pas. C’est prioritaire
- Je le fais avant de partir Patron.
- Bien.
En principe, je serai au bureau si vous avez besoin d’une info sur les pièces stockées ici ou sur un point des dossiers.
En marche ! »
Grindier et Lambert vont rejoindre le reste de la brigade.
A travers la baie vitrée qui donne sur la grande salle il les voit se préparer pour partir sur le terrain.
Il reste quelques instants immobile.
Il prend sa pipe et la vide soigneusement dans le cendrier.
Il sort du tiroir de quoi la nettoyer puis la garnit à nouveau.
Il l’allume et reste assis dans son fauteuil l’air songeur.
Quand tous ses hommes sont partis, il prend son cellulaire
« Claude, on ne se quitte plus.
- Je veux juste te mettre au courant de ce que j’ai mis en marche.
Je te communiquerai les résultats comme convenu.
Mais je pense qu’il y aura des réactions.
- C’est fort probable.
- J’aimerais que tu me m’avertisses dès que tu as quelque chose.
Plus je réfléchis et plus je me dis qu’on va finir par mettre la main sur un truc qui pue et que ça va provoquer des remugles.
Mes hommes sont partis sur le terrain.
Perquisition des domiciles et enquête de voisinage.
J’attends les retours.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai le pressentiment que ce sera… surprenant.
- D’accord Claude.
Tu me tiens informée. Et n’oublie pas, comme nous l’avons prévu, les rapports pour transmission à la DGSE.
- Sans problème. Et ne m’oublie pas si ça bouge.
- Tu seras averti immédiatement.
- Merci. Bonne journée.
- Toi aussi. »
Chapelier range son téléphone.
Il continue à fumer appuyé en arrière dans son fauteuil.
Dernière édition par william1941 le Lun 9 Jan 2023 - 23:41, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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