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Le piège 53 L'illsutration est de Brase d'Anjou
2 participants
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Le piège 53 L'illsutration est de Brase d'Anjou
Jeudi huit heures.
Chapelier est dans son bureau. Calé dans son fauteuil.
La fumée a déjà envahi la pièce
Un exacompta devant lui, il jette quelques mots sur le papier de temps en temps.
A neuf heures toute sa brigade est là.
Il vient les rejoindre et leur demande de s’asseoir autour de la grande table de réunion.
« J’ai tenu à vous informer :
Je suis convoqué, à quatorze heures, avec le Directrice, à Beauvau.
Appel téléphonique du cabinet.
Aucune information sur le motif.
Vous savez tous que l’affaire dont nous nous occupons implique la DGSI et que le dossier qu’on nous à transmis n’est ni complet ni honnête.
Je vous demande de me préparer pour demain un rapport de synthèse complet sur nos investigations et leurs résultats.
Nous verrons, en fonction de l’entretien de cet après-midi quelle direction nous donnerons à notre enquête.
Merci pour votre travail.
Grindier, Lambert, venez avec moi. »
Immédiatement les six autres inspecteurs se mettent au travail.
Chacun reprend ses documents et ses rapports et revient s’installer autour de la table de réunion.
Dans le bureau de Chapelier la fumée envahit toujours la pièce.
« Asseyez-vous.
- Qu’est-ce qu’il se passe Patron.
- Je ne sais pas vraiment. Mais ce qui est sûr c’est qu’on dérange.
Nos amis de la DGSI… ou d’un autre service de sécurité ont trouvé que nous commencions à soulever les bonnes pierres.
On essaie de nous contrôler par le haut.
Ils ont dû commencer à s’inquiéter quand les recherches de contacts avec les familles ont été lancées.
- Je suis désolée Patron – dit Grindier.
- Ne le sois pas. Tu as juste fais ton travail. Et ça prouve que c'était une bonne idée. D’une façon ou d’une autre ils cherchent à contrôler nos investigations.
Je suppose qu’ils ont compris que nous soupçonnons qu’il y a quelque chose qui sent mauvais derrière cette histoire et ils veulent nous empêcher de trouver quoi.
Dîtes bien à tout le monde que pour nous cette convocation ne change rien.
Nous continuons notre boulot de flics de la criminelle.
On nous a chargé d’une enquête et nous allons là où les preuves et les indices nous conduisent.
Lorsque nous auront terminé nos investigations nous remettrons le dossier à la Directrice pour qu’il soit traité selon la loi... ou pas. Mais ce ne sera plus notre problème. Point final.
Pour nous c’est à la fois l’espace et la limite de notre travail de policier.
Allez avec la brigade pour mettre au point ce rapport de synthèse.
Essayez de ne rien oublier.
Dégagés les pistes de recherches.
J’espère que nous aurons à utiliser tout votre travail.
- Mais patron… , dit Lambert
- Mais rien, Lambert.
Vous serez tous tenus au courant de la suite.
Au boulot! »
Chapelier est dans son bureau. Calé dans son fauteuil.
La fumée a déjà envahi la pièce
Un exacompta devant lui, il jette quelques mots sur le papier de temps en temps.
A neuf heures toute sa brigade est là.
Il vient les rejoindre et leur demande de s’asseoir autour de la grande table de réunion.
« J’ai tenu à vous informer :
Je suis convoqué, à quatorze heures, avec le Directrice, à Beauvau.
Appel téléphonique du cabinet.
Aucune information sur le motif.
Vous savez tous que l’affaire dont nous nous occupons implique la DGSI et que le dossier qu’on nous à transmis n’est ni complet ni honnête.
Je vous demande de me préparer pour demain un rapport de synthèse complet sur nos investigations et leurs résultats.
Nous verrons, en fonction de l’entretien de cet après-midi quelle direction nous donnerons à notre enquête.
Merci pour votre travail.
Grindier, Lambert, venez avec moi. »
Immédiatement les six autres inspecteurs se mettent au travail.
Chacun reprend ses documents et ses rapports et revient s’installer autour de la table de réunion.
Dans le bureau de Chapelier la fumée envahit toujours la pièce.
« Asseyez-vous.
- Qu’est-ce qu’il se passe Patron.
- Je ne sais pas vraiment. Mais ce qui est sûr c’est qu’on dérange.
Nos amis de la DGSI… ou d’un autre service de sécurité ont trouvé que nous commencions à soulever les bonnes pierres.
On essaie de nous contrôler par le haut.
Ils ont dû commencer à s’inquiéter quand les recherches de contacts avec les familles ont été lancées.
- Je suis désolée Patron – dit Grindier.
- Ne le sois pas. Tu as juste fais ton travail. Et ça prouve que c'était une bonne idée. D’une façon ou d’une autre ils cherchent à contrôler nos investigations.
Je suppose qu’ils ont compris que nous soupçonnons qu’il y a quelque chose qui sent mauvais derrière cette histoire et ils veulent nous empêcher de trouver quoi.
Dîtes bien à tout le monde que pour nous cette convocation ne change rien.
Nous continuons notre boulot de flics de la criminelle.
On nous a chargé d’une enquête et nous allons là où les preuves et les indices nous conduisent.
Lorsque nous auront terminé nos investigations nous remettrons le dossier à la Directrice pour qu’il soit traité selon la loi... ou pas. Mais ce ne sera plus notre problème. Point final.
Pour nous c’est à la fois l’espace et la limite de notre travail de policier.
Allez avec la brigade pour mettre au point ce rapport de synthèse.
Essayez de ne rien oublier.
Dégagés les pistes de recherches.
J’espère que nous aurons à utiliser tout votre travail.
- Mais patron… , dit Lambert
- Mais rien, Lambert.
Vous serez tous tenus au courant de la suite.
Au boulot! »
Dernière édition par william1941 le Mer 1 Fév 2023 - 15:06, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Date d'inscription : 03/04/2020
Age : 83
Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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