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Le piège 64 L'illustration est de Brase d'Anjou
2 participants
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Le piège 64 L'illustration est de Brase d'Anjou
De retour dans le bureau, Chapelier remarque que sa visiteuse a l’air inquiète :
« Voilà ce que nous allons faire.
Je prends votre situation en main.
Il y a des choses qui ne sont pas nettes et j’ai bien l’intention de les mettre au clair.
Je ne suis pas agent des services de sécurité intérieure.
Soyez-en sûre, j‘ai l’intention de découvrir ce qu’il s’est passé.
Votre aide nous est très précieuse.
Ce n’étaient pas des policiers de ma brigade qui étaient chez votre belle-sœur cet après-midi.
Certainement des agents de la DGSI. Et ils vous ont vu partir et vous suivent pour voir si vous mettez votre menace de contacter le media à exécution.
Je suis sûr qu’ils vous ont vu venir ici.
Si vous êtes d’accord, comment nous allons procéder :
Vous allez sortir par l’arrière du bâtiment.
Je vais demander un taxi.
L’inspecteur Grindier vous conduira à un hôtel où vous passerez la nuit.
Je viendrai vous récupérer demain matin à sept heures.
Je vais vous donner mon numéro de téléphone.
S’il y a quelque problème que ce soit appelez-moi.
N’appelez personne d’autre et n’utilisez pas le téléphone de la chambre.
- Vous pensez que je suis en danger ?
- Non. Si vous acceptez de nous aider, cela devrait faire bouger les responsables de cette situation et me permettre de trouver les réponses à ce mystère.
Est-ce que vous êtes d’accord ?
- Oui.
Il me faudrait passer prendre des affaires pour la nuit…
- Surtout pas. A partir de maintenant seul l’inspecteur Grindier et moi-même sauront où vous êtes.
C’est votre disparition qui va servir de déclencheur.
Vous êtes toujours d’accord ?
- Oui commissaire.
Je veux savoir ce que sont devenus mon frère et ma belle-sœur.
- L’inspecteur Grindier va s’occuper de vous.
Elle va vous accompagner en taxi et se chargera de vous enregistrer à l’hôtel
Merci pour votre aide.
- C’est moi qui vous remercie commissaire.
Vous êtes le premier qui se préoccupe vraiment de savoir ce qu‘ils sont devenus »
Grindier s’avance vers la porte du bureau.
« Restez-là toutes les deux.
Donne-lui mon numéro.
Appelle un hôtel, bref, je n’ai pas besoin de détailler. Tu paies la chambre en cash en arrivant.
Dis bien au taxi de venir par Douaumont.
(Il regarde sa montre : presque vingt heures)
Je partirai une bonne heure après vous.
Je vais vous demander un sandwich et une boisson
Un parisien et une bière, ou un coca ou une eau plate.
- Avec un coca s’il vous plait. »
Il prend son cellulaire
« Chapelier.
-…
Je peux avoir deux parisiens, un coca et une bière s’il vous plait ?
Attendais instant…
Grindier tu veux un sandwich ?
- Merci je m’arrangerai.
- C’est bon deux sandwichs une bière et un coca. »
Grindier prend son téléphone.
Elle commence par l’hôtel….
« Voilà ce que nous allons faire.
Je prends votre situation en main.
Il y a des choses qui ne sont pas nettes et j’ai bien l’intention de les mettre au clair.
Je ne suis pas agent des services de sécurité intérieure.
Soyez-en sûre, j‘ai l’intention de découvrir ce qu’il s’est passé.
Votre aide nous est très précieuse.
Ce n’étaient pas des policiers de ma brigade qui étaient chez votre belle-sœur cet après-midi.
Certainement des agents de la DGSI. Et ils vous ont vu partir et vous suivent pour voir si vous mettez votre menace de contacter le media à exécution.
Je suis sûr qu’ils vous ont vu venir ici.
Si vous êtes d’accord, comment nous allons procéder :
Vous allez sortir par l’arrière du bâtiment.
Je vais demander un taxi.
L’inspecteur Grindier vous conduira à un hôtel où vous passerez la nuit.
Je viendrai vous récupérer demain matin à sept heures.
Je vais vous donner mon numéro de téléphone.
S’il y a quelque problème que ce soit appelez-moi.
N’appelez personne d’autre et n’utilisez pas le téléphone de la chambre.
- Vous pensez que je suis en danger ?
- Non. Si vous acceptez de nous aider, cela devrait faire bouger les responsables de cette situation et me permettre de trouver les réponses à ce mystère.
Est-ce que vous êtes d’accord ?
- Oui.
Il me faudrait passer prendre des affaires pour la nuit…
- Surtout pas. A partir de maintenant seul l’inspecteur Grindier et moi-même sauront où vous êtes.
C’est votre disparition qui va servir de déclencheur.
Vous êtes toujours d’accord ?
- Oui commissaire.
Je veux savoir ce que sont devenus mon frère et ma belle-sœur.
- L’inspecteur Grindier va s’occuper de vous.
Elle va vous accompagner en taxi et se chargera de vous enregistrer à l’hôtel
Merci pour votre aide.
- C’est moi qui vous remercie commissaire.
Vous êtes le premier qui se préoccupe vraiment de savoir ce qu‘ils sont devenus »
Grindier s’avance vers la porte du bureau.
« Restez-là toutes les deux.
Donne-lui mon numéro.
Appelle un hôtel, bref, je n’ai pas besoin de détailler. Tu paies la chambre en cash en arrivant.
Dis bien au taxi de venir par Douaumont.
(Il regarde sa montre : presque vingt heures)
Je partirai une bonne heure après vous.
Je vais vous demander un sandwich et une boisson
Un parisien et une bière, ou un coca ou une eau plate.
- Avec un coca s’il vous plait. »
Il prend son cellulaire
« Chapelier.
-…
Je peux avoir deux parisiens, un coca et une bière s’il vous plait ?
Attendais instant…
Grindier tu veux un sandwich ?
- Merci je m’arrangerai.
- C’est bon deux sandwichs une bière et un coca. »
Grindier prend son téléphone.
Elle commence par l’hôtel….
Dernière édition par william1941 le Mar 21 Fév 2023 - 17:43, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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