Belles photos marines

PAT 1er a écrit:J'embarquerai volontiers à son bord... Tout un symbole...

Et moi donc ! Ça c'est un navire à ma taille, si tu vois de quoi je veux parler... 

Oui je vois très bien vieux gréement!!!

On parle de bateaux mais il y a aussi le RMS Titanic qui a coulé au large de Terre-Neuve   

PAT 1er a écrit:Oui je vois très bien vieux gréement!!!

 
Et oui chenapan ! Et attention, je sais me servir d'un cabillot autrement que pour fixer un bout !

OLAF a écrit:On parle de bateaux mais il y a aussi le RMS Titanic qui a coulé au large de Terre-Neuve   

Pas sur que ce soit une "belle photo marine" 

C'est vrai tu as raison, je vais même la retirer tiens si je sais ! 

Fameux bateau le Marité !! 

Encore un très beau voilier que j'aurais voulu voir, un quatre-mats barque battant pavillon allemand et qui connut une fin tragique à mille kilomètres au sud des Açores en 1957. Pris dans un ouragan, il chavira... Il n'y eu que 6 rescapés... Voici le Pamir...

OLAF a écrit:Fameux bateau le Marité !! 

Et magnifiquement restauré ! C'est aujourd'hui le plus grand voilier français...

OLAF a écrit:C'est vrai tu as raison, je vais même la retirer tiens si je sais ! 

Mais non, cela fait partie de l'histoire et je plaisantais... 

Purée le nombre de voiles !!!!

:dd9:Tu m'as eu je l'avoue, 

Oui c'est impressionnant mais il y en a moins que sur les deux France...

OLAF a écrit::dd9:Tu m'as eu je l'avoue, 

Allez, un petit dernier pour ce soir... Le trois-mâts Picton Castle...

Et sur ce...

Joli ce trois mats !! 

Et bonne nuit l'ami 

Voilier et coucher de soleil ! 

Superbes tous ces grands voiliers !
Pour la petite histoire mon grand-père fut embarqué comme mousse à l'âge de 10 ou 11 ans tout au début du XXème siècle sur un de ces grands bateaux à voile. Si je ne me trompe, il était cap-hornier à 12 ans... Je ne l'ai malheureusement jamais connu, j'aurais adoré en parler avec lui...

Tabadoc a écrit:Superbes tous ces grands voiliers !
Pour la petite histoire mon grand-père fut embarqué comme mousse à l'âge de 10 ou 11 ans tout au début du XXème siècle sur un de ces grands bateaux à voile. Si je ne me trompe, il était cap-hornier à 12 ans... Je ne l'ai malheureusement jamais connu, j'aurais adoré en parler avec lui...

Comme je te comprend ! Quelle vie, certainement archi-dure et passionnante, il a du avoir...

Harmoblues a écrit:

Tabadoc a écrit:Superbes tous ces grands voiliers !
Pour la petite histoire mon grand-père fut embarqué comme mousse à l'âge de 10 ou 11 ans tout au début du XXème siècle sur un de ces grands bateaux à voile. Si je ne me trompe, il était cap-hornier à 12 ans... Je ne l'ai malheureusement jamais connu, j'aurais adoré en parler avec lui...

Comme je te comprend ! Quelle vie, certainement archi-dure et passionnante, il a du avoir...

+1
Je te rejoins sur tes propos mon cher Harmoblues. Pour ceux qui souhaitent revivre cette époque, je vous recommande la lecture de la "Vareuse Blanche" par Herman Melville aux éditions Gallimard. Il s'agit d'un récit vécu, à l'état brut, qui décrit en détail les conditions de servitude inhumaine auxquelles étaient soumis les matelots au XIX siècle. L'auteur nous fait revivre l'immense voyage qu'il fit, tout au long des côtes du Pacifique et de l'Atlantique, en passant par le redoutable cap Horn.

Il y a une bibliothèque deux rues derrière chez moi, je vais essayer de me procurer
le livre dans les prochains jours.  Merci PAT 1er pour les références 

Le cap Horn... cauchemar des marins

" Les dangers pour la navigation
À l’approche du cap Horn depuis le sud-ouest.

Plusieurs facteurs se combinent pour faire du cap Horn l’un des passages les plus dangereux au monde pour la navigation maritime : il est situé près de l’océan Austral, où prévalent de manière générale des conditions difficiles pour la navigation, il présente une topographie défavorable, et sa latitude est extrême, par 56° sud (à titre de comparaison, le cap des Aiguilles à la pointe sud de l’Afrique est par 35° sud, et l’île Stewart au sud de la Nouvelle-Zélande est par 47° sud).

Les vents dominants aux latitudes situées sous 40° sud peuvent souffler d’ouest en est autour du globe en étant à peine interrompus par les terres, donnant naissance aux « Quarantièmes rugissants » et aux encore plus violents « Cinquantièmes hurlants » et « Soixantièmes stridents ». Ces vents sont tellement dangereux que les navires qui naviguent vers l’est ont l’habitude de rester un peu au nord du 40e sud. Mais passer le cap Horn impose aux bateaux de pousser au-delà de 56° sud, donc loin dans la zone présentant les vents les plus violents21. Ces vents sont accélérés au niveau du cap par un effet entonnoir créé par les Andes et la péninsule Antarctique, qui obligent les vents à s’engouffrer dans le passage relativement étroit de Drake.

Ces vents forts donnent naissance à de puissantes vagues, qui peuvent atteindre des proportions gigantesques lors de leur parcours autour de l’océan Austral. Parcours qui n’est interrompu par aucune terre, sauf au Horn, où ces vagues rencontrent une zone d’eau peu profonde qui a pour effet de les raccourcir et d’en accroître la hauteur, augmentant le péril qu’elles représentent pour les navires. Les vagues peuvent également être encore plus creusées les jours où le vent souffle de l’est, venant ainsi à contresens du puissant courant marin qui traverse lui le passage de Drake d’ouest en est22. Outre ces vagues « normales », la région à l’ouest du Horn est connue comme étant un lieu d’apparition soudaine de vagues monstrueuses (aussi appelées « vagues scélérates »), qui peuvent atteindre 30 mètres de haut23.

Les vents dominants et les courants marins sont particulièrement problématiques pour les navires qui veulent passer le cap à « contresens », c’est-à-dire d’est en ouest. De tous les types de navires, c’était pour les voiliers traditionnels que la traversée était la plus difficile, car, dans le meilleur cas, ils ne parvenaient qu’à progresser très lentement contre les vents24. Les voiliers monocoques modernes manœuvrent mieux pour naviguer contre le vent et le passage du Horn vers l’ouest est un peu plus sûr pour eux, comme pendant la course maritime du Global Challenge. En revanche, les voiliers multicoques (tri et catamarans) ont énormément de difficultés à remonter au vent.

Enfin, les glaces sont le dernier danger qui menace les marins s’aventurant loin au-delà du 40° sud. La limite des glaces ne commence que plus au sud du Horn, mais le danger pour les navires provient en fait des icebergs. En février, ces derniers ne remontent généralement pas au-delà de 50° sud dans l’océan Pacifique, mais en août ils peuvent se trouver par 40° sud. Avec sa latitude de 56° sud, tous les navires qui veulent passer le cap Horn risquent de croiser un iceberg, quelle que soit la période de l’année25.

Tous ces dangers ont donné au Horn la réputation d’être certainement le passage le plus périlleux pour les navires. De nombreux bateaux y ont coulé et beaucoup de marins ont trouvé la mort en essayant de le franchir."
Wikipedia ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Cap_Horn )

Le paysage est très beau en tout cas :